rencontres avec des lutteuses

Mardi 17 avril 2 17 /04 /Avr 10:08

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

 

Notre ami Lucius n'est pas du tout d'accord avec le dernier article paru sur le blog, consacré aux entraînements mixtes pour jeunes générations.

Comme je tiens à la diversité des points de vue, je lui donne la parole, et j'engage donc un petit débat avec lui. Nos lecteurs pourront mettre leur grain de sel en apportant leurs propres commentaires.

 

Lucius : Pas du tout d'accord sur cette vision de la "lutte mixte" qui, pour moi, s'il n'y a pas un impact d'ordre "sexuel", n'a plus aucun intérêt, en dehors du cas de cours d'auto-défense pour les  femmes avec, éventuellement, des applications pratiques avec des hommes - qui pourraient être purement "sportives".

 

Aristote : C'est toi qui considères que cette « vision » de la lutte mixte n'a aucun impact d'ordre érotique. Pour moi elle en a, et d'ailleurs je pense que c'est ainsi aux yeux de beaucoup de monde, car si ces entraînements mixtes étaient absolument sans ambiguïté, ils n'auraient pas été aussi longtemps tabous, et d'ailleurs ils le sont encore dans la plupart des salles de sport où la pratique mixte n'est pas aussi libre qu'on le voit sur ces vidéos.

bonne prise Même le cours d'auto-défense pour femmes peut dériver vers une forme de « plaisir sexuel » dès lors que derrière l'homme venu là pour jouer le rôle d'agresseur peut fort bien se cacher un authentique amateur de ballbusting !...

 

Lucius : Un entraînement "mixte" comme il est présenté n'aurait de valeur que pour les femmes - pour les hommes qui voudraient y participer, en dehors du contact des corps (ce qui a une connotation sexuelle, quoi qu'on en dise), cela ne pourrait être qu'un exercice sportif, pratiqué aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes et qui, en tout état de cause, serait en totale contradiction avec l'esprit de ce blog dont le titre "Vaincu par elle" implique un côté d'ordre "masochiste" (c'est-à -dire une "forme de masochisme », décrite, il y a longtemps, par Kraft-Ebbing, mais toujours valable à mon avis). 

 

Aristote : Ici je voudrais répondre sur deux points : d'une part, c'est justement parce que cet exercice sportif ne peut se pratiquer en dehors du contact des corps, mais forcément par le biais de ce contact, qu'il a une connotation sexuelle dès lors que la personne avec laquelle on lutte nous plaît sexuellement (et bien sûr la lutte entre hommes peut prendre une connotation sexuelle si l'un des deux partenaires est d'orientation homosexuelle...), nous sommes d'accord.

1638 D'autre part, je veux bien qu'on dise que l'orientation de ce blog est masochiste, et dans le contexte de ces entraînements mixtes où l'on voit la fille gagner il n'y a aucune contradiction, puisque dans le cas de ce garçon, on peut en fait y voir une éventuelle initiation à ce plaisir masochiste, et n'oublions pas aussi la caméra, et le plaisir voyeur du spectateur qui peut se « projeter » en lui, imaginer que ce garçon l'incarne quand il avait son âge.

 

Lucius : Si des hommes "jeunes" sont attirés par des "sessions", même avec des femmes plus âgées - actuellement, ce n'est plus un problème -, c'est qu'ils recherchent une émotion d'ordre sexuelo-masochiste et, alors, il vaut mieux s'adresser à des spécialistes - qui ne négligent pas cet aspect, même si ce n'est qu'indirectement.

 

Aristote : Tu as raison, ce serait plus clair, mais tu ne pourras jamais éliminer des salles de sports les gens qui aiment une certaine forme d'ambivalence, qui aiment jouer entre le sportif et le sexuel. Certaines filles coquines aiment s'entraîner avec les garçons justement pour expérimenter cela, pour tester leur séduction, pour voir si par hasard, dans un contact au sol, elles ne constatent pas de fugitives érections chez eux, sans oublier l'excitation sexuelle qui peut apparaître chez elles aussi...

Tu veux les bannir des salles de sports, ces filles coquines ? Et les garçons qui aiment lutter avec elles pour un jeu sportivo-sexuel, tu veux aussi les exclure ? et les contraindre à aller payer des professionnelles, alors qu'ils ont des copines sportives ouvertes à une certaine ambiguïté dans la pratique sportive ?

 

Lucius :  D'autre part, je prétends que cette abondance de propositions "tarifées", venant de filles qui se disent "lutteuses" ou "musclées", ressemble étrangement à une semi-prostitution, avec l'avantage de ne pas mettre en jeu l'intégrité du corps féminin - du moment que c'est la femme qui dicte les règles et de préférence avant le déroulement de la session. En fait, elles utilisent aussi leur corps, mais d'une manière différente ! 

 

Aristote : Pourquoi écris-tu « qui se disent... » ? mais elles le sont ! Ce sont de redoutables lutteuses, et beaucoup d'entre elles sont vraiment musclées ! Je suis assez d'accord avec toi pour employer le terme de « semi-prostitution » puisqu'elles se font payer à des tarifs assez élevés.

D'ailleurs les entraînements qu'on voit dans les vidéos du précédent article, même s'ils sont amateurs et sans argent,  peuvent aussi dériver vers des combats qui sont à la fois « semi-sportifs » et « semi-sexuelo-masochistes ». 

Mais je ne porte pas de jugement négatif sur l'activité des lutteuses professionnelles, car d'une part elles rendent service à des hommes qui, sans elles, seraient bien en peine d'assouvir leurs fantasmes de lutte mixte, et d'autre part cette activité de service est difficile à mener et présente des risques, donc leurs tarifs me semblent justifiés.

 

b953 Lucius : Ceci dit, il est certain que, pour les jeunes gens qui recherchent une fille forte et dominatrice (quoique les deux n'aillent pas de pair), il est sûr que la fréquentation des salles de sport est un moyen beaucoup moins coûteux (mais beaucoup plus aléatoire) de trouver "chaussure à son pied" et que, de surcroît, le fait de s'entraîner soit bénéfique en soi. 

 

Aristote : Nous sommes entièrement d'accord sur ce point.

Il resterait à nos lecteurs qui ont fréquenté des salles de sport  à nous apporter leurs témoignages pour nous dire quels genres de rencontres ils ont pu faire dans le cadre d'entraînements mixtes amateurs, et nous raconter comment certains entraînements ont pu éventuellement dériver vers une connotation un peu érotique ou masochiste, ou trouver des prolongements de ce type avec la même fille mais en dehors de la salle.

 

 

 

 

Lucius (commentaires ajoutés le 22/04) :

Finalement, il semble que nous soyons d'accord sur le fond. Il y a quelque chose de "sexuel", voire de "masochiste" dans la lutte mixte telle que nous la concevons - et qui traduit la réalisation d'un certain fantasme.

Au sujet des salles de sports :  j'émets des doutes sur la fréquence de ces combats et je pense que ce n'est qu'exceptionnellement que l'on peut trouver une fille motivée au point d'être sexuellement "dominatrice", et le prouver en fréquentant ces salles de sport. Toutefois, n'ayant pratiquement pas d'expérience en ce domaine - et, cela, depuis fort longtemps - je me garderai d'émettre un avis autorisé sur ce qui peut s'y passer actuellement.


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Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 13:50

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

 

A un lecteur de 29 ans qui me demandait des infos sur les lutteuses proposant des sessions en
France, j'ai fait la réponse suivante :

"Je trouve un peu dommage qu'à ton âge tu veuilles payer des femmes qui sont bien plus âgées que toi et que tu ne penses pas d'abord à t'inscrire dans un club de sport où tu pourras t'entraîner avec des garçons et des filles. Tu devrais pouvoir t'y trouver une copine délurée ayant de la lutte mixte en privé une conception moins étroitement sportive que celle qui est en vigueur dans les salles (comme il se doit...)"

 

Si pour les adultes d'âge mûr je conçois qu'il n'y ait pas tellement de solution simple à mettre en oeuvre pour vivre notre passion de combats mixtes (en dehors des sessions), en revanche, pour un jeune, il y a quand même de multiples possibilités, c'est à lui de sortir de sa coquille, d'aller là où se trouvent des filles bagarreuses, et de commencer par le commencement : l'affrontement sportif sur le tapis.

 

Voici quelques vidéos illustrant cela, et d'abord une vidéo prise en salle en présence d'un arbitre et d'un public de sportifs :

 


puis sans arbitre (en général inutile) :

 

 

Le kimono, c'est quand même plus convenable, plus décent... Avec cette très belle pratiquante de jiu jitsu, revêtue de son superbe kimono de couleur, on ne voit plus rien de son anatomie et il n'y a plus aucun érotisme, bien sûr...

 

 

Voici encore une vidéo montrant que les hommes adultes restés de grands enfants peuvent aussi participer (à condition de se confronter à de jeunes combattantes, car il leur est sans doute plus difficile de trouver des femmes de leur âge qui continuent de s'entraîner en amateurs et acceptent des entraînements mixtes de ce type) :

 

   

 

Quand on est un homme vieillissant dans mon genre, on se dit que c'est quand même dommage qu'on n'ait pas pu vivre cela dans sa jeunesse pour la simple raison que ce genre d'entraînements mixtes étaient, à l'époque, impensables, du fait de tabous anciens et et qui n'ont pas encore disparus... Ce genre de spectacle n'est pas complètement anodin pour nous autres, nous les vieux satyres qui avons gardé l'ancienne mentalité et trouvons donc cela sexuellement excitant, avouons-le. 


Cette ancienne mentalité est en régression partout, fort heureusement ! Et puisque cet article paraît le jour même où nous est donnée la bénédiction pascale-papale, qu'on me permette de poser la question suivante : que dire de la motivation du pape Benoît XVI et de son entourage dans ce qui suit ? ils aiment les spectacles sportifs et ils ont bien le droit, n'est-ce pas ? 


Gymnastes musclés chez le pape


Il faut dire que le pape court quand même moins de risque avec ces gentils garçons qu'avec une femme sportive légèrement allumée ! on se souvient d'un incident qui s'est produit il n'y a pas si longtemps :


encore une femme dangereuse
.

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Mardi 22 décembre 2 22 /12 /Déc 11:30

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

 

 

portrait2 Rappel du précédent épisode : Paul Asiatophile, notre ami recherchant une combattante de type asiatique, a pris contact avec Larry, un garçon originaire d'une grande métropole d’Asie. Larry est un jeune étudiant en langues (anglais, français) et il finance ses études en faisant fonction de "guide" pour touristes occidentaux. Paul lui a demandé de prendre contact avec des filles pratiquant les arts martiaux et Larry a déniché Joli Sourire qui, très sympa, lui a proposé de faire un test pour lui montrer sa valeur en combat.

 

Quelque temps plus tard, Paul reçut un récit circonstancié et illustré de photos. Voici le récit de Larry :

 

prise 190-200"Elle m’attendait dans une salle d’entraînement qu’elle avait aménagée pour ma visite : un tapis au sol et un autre contre le mur, « pour remplacer les cordes du ring » m’expliqua-t-elle. Elle avait amené deux amis à elle : un cameraman et un photographe.


«Larry, je te trouve mignon, gentil, et je ne te demanderai donc pas d’argent pour ce combat. Mais en échange je te demande d’accepter d’être photographié et filmé. » J’ai accepté à condition que je puisse avoir des photos. Elle m’en a donné beaucoup et je pourrai vous en envoyer d’autres si ça vous intéresse, M. Paul.

 

début invite 250-287 Au début je ne savais pas ce qui m’attendait, j’espérais une petite séance sportive et agréable.


Après quelques minutes, j’ai compris que j’allais passer un mauvais quart d’heure.


Mais après un quart d’heure, j’ai compris que ça serait plus long que prévu, et finalement, ce n’est pas un mauvais quart d’heure que j’ai passé, c’est trois !

 

J’ai la manie des classifications. Dans votre grammaire française, il y a les verbes du premier groupe, ceux du deuxième groupe, et enfin les verbes du troisième groupe, les plus difficiles parce que ce groupe compte beaucoup de verbes irréguliers.


Par comparaison, je dirai donc que le combat que j’ai eu avec Joli Sourire a comporté trois phases : une première phase, le combat debout, une seconde, le combat à genoux, et une troisième, le combat au sol, et ce fut la phase la plus difficile parce c'est celle où elle m'a donné le plus de coups irréguliers. J’espère que vous me pardonnerez cette comparaison hasardeuse avec vos verbes français, M. Paul.

 

proj1 230-250 coup poing debout 250-200Debout, elle m’a boxé au corps, martelé de ses poings, atteint à l’abdomen sur le côté, j'étais suffoqué, acculé contre le tapis mural.

Debout, elle m’a encore giflé au visage, fait reculer, à nouveau coincé dans l’angle de la pièce (je pourrais vous envoyer des photos de ces gifles).

Debout elle m’a également donné des coups de pieds et des coups de genoux.


clef cou 200-200 Debout, elle m’a saisi dans des étranglements, de face, de côté et à revers.

Debout, elle m’a encore saisi au colbac et m’a chargé sur son épaule, promené dans la pièce puis projeté au sol comme un vulgaire paquet. Elle avait la force d'un débardeur travaillant sur les quais.


proj2 230-250 A un autre moment, elle m’a chargé sur son dos comme un sac de riz, puis elle m’a projeté derrière elle tout en se laissant tomber elle-même sur moi (cf. photo à droite) : après le choc de ma chute, j’ai dû encaisser tout le poids de son corps qui s’est écrasé sur moi. La suite s’est déroulée au sol (voir plus loin).

 

agenoux2A genoux elle m’a allongé des gifles avec force et une grande agilité.

Ou alors elle a fait semblant de m’attirer vers elle pour me repousser violemment et me faire tomber en arrière

A genoux, elle m’a saisi la main, tordu les doigts, elle a entrecroisé ses bras dans les miens pour me contrôler, elle m’a donné des claques sur le côté pour me déséquilibrer et me faire chuter.

coup de pied à genoux


A genoux, elle m’a saisi la tête par le cou dans le creux de son bras droit, elle m’a fait rouler au sol et s’est posée sur moi pour m'infliger une longue et douloureuse immobilisation.

 

domin sol2 200-200 J'en viens à la phase la plus dure, celle du combat au sol.

Il faut dire qu'au sol, plusieurs fois elle s’est ruée sur moi avec une joie féroce, comme pour se défouler sur moi.


doigts 150-160 Au sol, j’étais allongé, elle était sur moi, me chevauchait et m'avait pris la tête entre ses cuisses, alors elle m’a obligé à entrecroiser nos doigts pour un test de force, elle m’a fait mal et m’a allongé les deux bras sur le tapis en les étirant.




combat sol 150-200 Au sol elle m’a pris entre ses jambes, elle m’a fait faire des roulades de côté tout en me saisissant à la gorge. J'avais l'impression de n'être qu'un pantin qu'elle manipulait à sa guise.




douleur sourire 250-138 Au sol elle m’a encore étranglé dans l’étau de ses bras durs comme le fer !

Au sol elle m’a porté des prises (des prises interdites dans les combats réguliers de lutte et de judo, mais qu’elle a dû pratiquer avec des voyous sans scrupules) et elle m’a fait subir toutes sortes d’étirements extrêmement douloureux pour mes jambes, mes genoux, mes chevilles, mes poignets, mes bras, mes épaules, mon dos, je pourrais vous envoyer d'autres photos de toutes ces tortures diverses et variées…

botter cul solpar exemple elle m’a tordu la cheville et elle en a profité pour me balancer des coups de pieds au cul.

Au sol elle m’a fait un armlock, elle m’a étiré le bras et en a profité pour poser son pied sur mon visage et jouer à me le tapoter.

pied joue 250-208









avant-bras Au sol, après m’avoir jeté sous elle et plaqué sur le tapis avec force, elle s’est amusée à se laisser encore tomber et retomber sur moi,

elle a appuyé son avant-bras contre mon cou,

elle a planté son coude dans mon ventre,

elle a pesé avec son genou contre mes côtes


coude 200-200




domin sol poing 250-250 b12






Au sol elle m’a immobilisé, elle s’est dressée menaçante au dessus de moi, elle s’est couchée sur moi pour me contraindre à baiser son biceps, elle s’est relevée, elle a brandi son poing en signe de menace, puis elle a menace poing 200-150 laissé tomber son poing sur le tapis à quelques centimètres de mon visage pour me faire peur...

A un autre moment elle a posé et vissé son poing sur mon nez, pour me montrer qu'elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait et même m’empêcher de respirer.

En bref, vous me passerez cette expression, mais je crois vraiment que j'ai beaucoup "galéré" aux prises avec cette furie.

 

 

 

cul 200-300A toutes ces souffrances physiques se sont ajoutées de très éprouvantes douleurs morales, des humiliations de toutes sortes :

genoux sol 250-250

Debout elle m’a menacé de me "botter les fesses", puis elle l’a effectivement fait !

(je ne vous montre que la préparation de ce coup trop humiliant).


Au sol, alors que j’étais couché et immobilisé, elle m’a encore botté le cul à plusieurs reprises et sous divers angles (je ne vous montre pas tout...).


Au sol elle a avancé son genou entre mes cuisses pour me broyer les parties, et à un autre moment, elle m'avait écartelé les jambes, elle a allongé son pied pour bien l’enfoncer dans mon entrejambe.


domin sol2 200-150 Au sol, elle m’a menacé de s’asseoir sur mon visage, et puis elle l’a effectivement fait (je ne mets pas la photo, c'est trop honteux), j’ai eu ses fesses appuyées sur mon nez et j’avais peine à respirer. Pendant ce temps-là, elle me boxait au corps.

 

culotte 4 200-200 Comme je n’en pouvais plus et que je donnais des signes d’abandon, elle m’a expliqué que le combat continuait et qu’elle allait m’y contraindre, au besoin en me chopant par la peau des fesses !

culotte 100-300 A plusieurs reprises, alors que je restais au sol et qu’elle était debout, elle m’a ordonné de me relever, et comme je tardais à le faire elle m’a saisi d’une main au col de mon gilet et de l’autre main par mon fond de culotte pour me soulever et me remettre debout manu militari.

Elle a vraiment la force d'un débardeur, d'un portefaix...

Mais à peine j’étais debout, à moitié groggy, elle m’a empoigné, porté une prise et aussitôt reprojeté au sol ! alors comme ça quand j’étais au sol elle me voulait debout  et quand j’étais debout elle me voulait au sol !

 

étrangl 200-160 JS16Durant tout le combat elle s’est beaucoup amusée, elle n'a pas arrêté de rire à mes dépens.


Etait-ce par sadisme qu’elle riait quand elle me portait une prise douloureuse et que je hurlais de douleur ? pas forcément… le sadisme, c’est se réjouir de faire mal. Mais je crois plutôt qu’elle riait parce qu’elle me trouvait ridicule, trop douillet. Un vrai guerrier reste impassible et même si je suis un peu sportif, en combat je ne suis qu’une mauviette, une lavette, c’est cela et rien d’autre qui la faisait rire, c’est le contraste entre ce garçon doux et pacifique que je suis et tous ces types durs qu’elle fréquente depuis longtemps et qui ne gémissent pas.

Elle m’a dit qu’elle voulait me donner une leçon. Mais une leçon de quoi ? parce qu'en fait elle ne m’a rien appris de toutes ses techniques, de tous ces trucs vicieux qu'elle a sans doute pratiqués dans des castagnes avec des gens peu recommandables. Non, elle a simplement, dit-elle, voulu commencer par m’apprendre à endurer la souffrance, à la supporter courageusement, et à ne pas abandonner tout de suite comme un lâche. L'entraînement mental, c'est le plus important, insistait-elle, mais je me demande si elle ne se fichait pas tout simplement de moi avec sa leçon de morale...


JS15 b3 Paradoxalement, je crois qu’elle m’aime bien, finalement... En combat au sol, plusieurs fois, elle s’est carrément couchée sur moi, ses beaux cheveux retombaient sur mon visage et elle faisait durer ce contact intime. A un autre moment, alors qu’elle me maintenait dans une immobilisation dont je ne pouvais plus sortir mais qu'elle faisait durer, elle approcha son poing gauche de ma bouche comme pour la frapper ou presser dessus, mais en même temps son visage aussi se rapprochait, comme si elle menaçait, en retirant brusquement le poing, de presser sa bouche sur la mienne (pour un baiser? une morsure? les deux?), et pas seulement son poing… Comme vous voyez, c’est une fille qui aime le mélange des genres et cultive une certaine ambiguïté."


En lisant ce long et passionnant rapport, Paul ne savait que penser. Lui qui est, comme nous l'avons vu, d'une nature profondément hésitante, se demandait plus que jamais comment réagir. D'une part, cette fille était vraiment très jolie, très attirante, mais par ailleurs c'était, de toute évidence, un vrai démon. Paul savait pertinemment qu'il ne serait pas de taille à l'affronter et il en avait peur, tout simplement. Elle n'avait pas fait payer Larry, mais c'est parce que ce Larry, elle l'avait trouvé mignon, à son goût, et parce qu'il avait accepté d'être photographié. Lui, Paul, devrait certainement payer, et n'aurait pas droit à cette coquine "ambiguïté" qu'elle réservait à ses petits chouchous sur le tapis.


Paul n'eut plus guère de nouvelles de Larry. Quelque temps plus tard, il le relança néanmoins, et Larry lui raconta qu'il était retourné à plusieurs reprises prendre des leçons gratuites auprès de Joli Sourire, car, disait-il, il avait pris goût à ce genre de combats où il était dominé et qu'il acceptait de mieux en mieux la souffrance et les humiliations. Aux sentiments d'admiration et de crainte qu'il avait d'abord éprouvés face à Joli Sourire, s'étaient surajoutés d'autres sentiments, sous-entendait Larry... mais dont il ne souhaitait pas en dire plus, par une pudeur et une réserve toutes asiatiques.

Anne1.jpg Paul n'insista plus et les choses en sont restées là. Paul restait songeur, et assez amer. Quel besoin ai-je d'aller chercher aussi loin ? se disait-il, Tout près de chez moi, en Belgique, une certaine Anne de la Frappe pourrait certainement m'infliger une "leçon" tout aussi douloureuse que ne le ferait Joli Sourire. Mais Paul avait peur d'Anne (one of the fastest and the hardest slappers in the world - une des donneuses de gifles les plus rapides et les plus dures au monde -, disait d'elle tout récemment un admirateur américain revenu tout heureux de s'être fait balancer force châtaignes et autres beignes par l'impitoyable Anne lors d'une récente session).

En outre Paul se sentait, à ses dires, assez désargenté... (mais disait-il la vérité ? ou n'était-ce qu'un prétexte ?), et sur ce terrrain il se sentait  jaloux de Larry, qui, dans cette affaire, n'avait pas déboursé un centime pour lutter, et puis... et puis... 

Paul Asiatophile, éternel hésitant ne changera jamais. Une amie sportive lui a dit un jour : "Toi, tu ne sais jamais ce que tu veux, et au physique tu es une chiffe molle, quand on te voit on a envie de te secouer et de te frapper !"

Mais elle ne l'avait pas fait, hélas...

 

NB. Les photos de cette article sont tirées de la vidéo suivante, qui remonte à quelques années et dont j'ignore si elle est encore disponible dans le commerce :


Boko-Usa1

cliquez sur la photo ou sur ce lien-ci, vous irez sur une page où il est peut-être encore possible de passer commande de ce DVD.

 

 

 

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Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 09:28

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Les investigations de notre ami Paul Asiatophile, dont nous avons déjà rendu compte dans deux précédents articles :  A la recherche d'une Asiatique  et  A la recherche d'une Asiatique (2), se poursuivent tous azimuths. Sur Internet, il prend contact avec des filles pratiquant les arts martiaux. Ce sont en général des Françaises, parce que Paul ne s'exprime bien que dans notre langue. Mais il a ce fantasme des filles de type asiatique (les spécialistes vous expliqueront que nos fantasmes ne tombent pas du ciel, ils sont "construits socialement", en l'occurrence il semble que Paul avait, dans sa jeunesse, regardé pas mal de films de karaté en provenance de Hong Kong...) et leur donne donc la priorité.

Récemment, sur un site de rencontres, il découvre une fiche de "profil" assez curieusement rédigée :

Drôle de pseudo... et puis ces yeux baissés, ça ne lui dit rien qui vaille... Intrigué, Paul s'inscrit mais, prudemment, sans mettre sa photo à lui dans son propre profil (sans doute parce qu'il est d'âge mur, notre Paul...).
Mais il parvient quand même à engager un chat avec Veine Haineuse, cette jeune Française de type asiatique :






Bizarre, cette nana, se dit Paul. Elle serait raciste, vraiment ? et cet humour de mauvais goût, ces "ah! ah!", c'est inquiétant, quand même...

Paul n'eut pas à attendre longtemps pour trouver dans sa boîte de mails un message avec deux photos jointes




Pris au dépourvu, Paul Asiatophile s'étrangla d'indignation, puis se ravisa, repris contenance et décida de "le prendre de haut", comme on dit.
Drapé dans sa dignité offensée, il répondit à la fille par un mail moralisateur où il lui expliquait que sa haine était vaine... Les choses en sont restées là et ils n'eurent plus de contacts.



Paul se mit à réfléchir à une autre approche : "Des prétentieuses, ces petites nanas chez nous", pensait-il. Il ferait mieux de prendre contact avec une véritable Asiatique. En Asie, il y a des millions de femmes qui ne demanderaient pas mieux que d'entrer en contact avec un Occidental comme lui et qui ne diraient jamais "j'aime pas les Blancs !". Non mais !

Il prit des contacts dans une de ces mégapoles asiatiques. Il finit par tomber sur quelqu'un qui se faisait appeler Larry, un garçon qui, étudiant en langues (anglais et français), se présentait comme "guide personnel pour touristes". Il connaissait parfaitement sa ville, et pas seulement les quartiers chauds pour touristes. Il était intéressé par la démarche inhabituelle de Paul, "recherchant une femme entraînée aux sports de combat, une femme qui serait capable de lutter d'égal à égal avec un homme". Larry se disait : "C'est intéressant, ça, ça va m'amener à fréquenter des gymnases, des dojos, ça me changera de toutes ces boîtes de nuit à touristes que je connais par coeur." Larry et Paul se mirent d'accord sur un petit contrat, au terme duquel Larry percevrait des honoraires raisonnables pour sa recherche, et une petite avance sur honoraires dès le démarrage de l'enquête.

Peu de temps après, Larry annonça à Paul qu'il avait l'adresse d'une salle où s'entraînait une catcheuse réputée, Maria Hosanna. Il s'y rendit, et n'eut aucune peine à contacter Maria. Il la trouva au pied d'un ring où, disait-elle, elle allait avoir un combat avec... un touriste ! Incroyable, pensait Larry ! Ainsi, Paul n'est pas le seul à aimer ça ! Il y a déjà un touriste ici, et je vais pouvoir assister au combat, et même, avec leur autorisation, prendre des photos.



Larry était inquiet pour ce touriste qui, venu sans doute dans l'intention de s'amuser un peu en compagnie d'une catcheuse, était en train de se faire proprement casser la figure par une femme déchaînée et impitoyable, et cela même alors qu'il avait payé assez cher Maria pour ce combat, car c'était une professionnelle, et du genre à se faire respecter...



Larry envoya son rapport à Paul Asiatophile. "Encore une qui n'aime pas les Blancs !" gémit Paul en recevant cela.
Mais Paul n'est pas homme à se décourager, d'autant que Larry lui signala qu'il avait un autre contact, une fille qui s'appelait "Joli Sourire" : elle était très jolie et, disait-elle, pratiquait divers sports de combat, mais en amateur. Connaissant les exigences de Paul, Larry joignait deux photos de la "candidate".



Oui, bien sûr, mais quel est son niveau en combat ? demanda Paul, toujours méfiant quand on lui parlait d'une jolie fille dans le milieu des arts martiaux, beaucoup d'entre elles étaient finalement assez frêles et bien incapables de s'imposer dans un combat mixte...

Larry lui fit la réponse suivante : "Ecoutez, j'ai un excellent contact avec Joli Sourire, c'est une fille de mon âge et qui a grandi comme moi dans les quartiers populaires de la ville. Elle m'a dit que si je voulais lutter avec elle, elle serait tout à fait d'accord. Bon, bien qu'assez sportif, je ne suis pas du tout entraîné dans ce genre de sports, mais je crois que je saurais assez bien me rendre compte de son niveau, alors si vous n'y voyez aucun inconvénient, je veux bien faire un test avec elle."

Paul donna son accord à Larry pour ce test. La semaine prochaine, ce sera la suite de notre feuilleton sur les aventures de Paul Asiatophile à la recherche d'un "contact intéressant"...

NB. Sauf les deux dernières, les photos de cet article (celles de "Veine Haineuse" et aussi celles de la catcheuse) sont toutes extraites de diverses vidéos de l'intéressante chaîne youtube EvaAlleyCat.
Particulièrement remarquable est la vidéo "Mixed Fight" de la catcheuse, avec d'impressionnantes projections qu'il est impossible de rendre en photos. Mais il semble qu'elle ait été retirée de youtube, pour une question de droits bien sûr.

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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 08:11

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Imaginons un garçon pas très sportif mais fasciné par les lutteuses et désireux de pratiquer la lutte mixte, appelons-le Tom. Le conseil qu'on est tenté de donner à Tom est de s'inscrire à un club de lutte, un vrai club de lutte où il paiera cotisation, licence, etc., et recevra en échange une formation donnée par des moniteurs compétents qui lui apprendront à lutter sans danger. Bien sûr, il s'entraînera surtout avec des garçons, mais avec un peu de chance, il y aura des filles dans ce club....
Bien vite dans le club on s'apercevra du fait que Tom n'est pas bien costaud et n'a rien d'un futur champion. Il aura droit aux propos dévalorisants de la part des gars du club, de ceux qui ont des ambitions et remportent des victoires dans les compétitions régionales.
Si Tom est américain, son entraîneur finira par lui faire comprendre que les seuls combats qu'il peut espérer remporter sont des combats mixtes, des combats avec des filles, comme on en organise là-bas. Tant mieux, pensera-t-il !

Et ce qu'il rêvait de faire, lutter avec une championne, il pourra le faire. Mais il le fera dans un contexte où, publiquement battu par la fille, il en sortira humilié, rabaissé aux yeux de ce public, qu'il le veuille ou non, qu'il s'en fiche ou non.

Il y a sans doute deux raisons pour lesquelles un peu partout à travers le monde (sauf dans quelques endroits aux USA) dans aucun des principaux sports de combat (lutte, judo, boxe etc.) on n'organise de combats mixtes en compétitions. Dans les deux cas le garçon en sort dévalorisé : s'il remporte le combat, on va dire que ce n'est pas un exploit et qu'il n'a pas lieu d'en être fier, et s'il le perd on le traitera de mauviette. Or ces sports virils sont conçus pour magnifier la masculinité, la force et la vaillance des combattants, pas pour rabaisser des hommes et remettre en cause le machisme, et c'est pourquoi il n'est pas question d'organiser des combats mixtes.
C'est sans doute la revendication féministe de non-discrimination sexiste qui est à l'origine du fait que dans certains pays avancés, tels les USA, on accepte les combats mixtes dès lors qu'ils sont équilibrés. Si la fille et son entraîneur peuvent démontrer qu'elle vaut un garçon en combat, c'est une discrimination sexiste que de lui refuser d'affronter des garçons, et ce n'est qu'une misérable défense du machisme de lui refuser qu'elle puisse le faire par le biais d'un combat public et arbitré.



En France, en Russie, dans tous les pays de mentalité archaïque et machiste, les entraînements mixtes et combats mixtes ne sont concevables qu'à l'entraînement. Grâce à youtube, quelques exemples édifiants nous sont offerts de la remise en cause de la supériorité du sexe dit "fort".


On remarquera cependant une chose : la présence de l'entraîneur de la fille, qui l'encourage, qui la "coache", et l'excitation verbale qui est souvent celle de cet entraîneur et de ses amis.
Derrière ce coaching insistant, il y a sans doute un propos implicite qui gâche le plaisir de Tom : "Si cette fille est si forte, et si elle te bat, minable, c'est parce que c'est moi qui l'ai entraînée, c'est moi qui l'ai faite, cette championne."
Au-delà des conseils techniques qu'il prodigue à la demoiselle, l'entraîneur ne signifie-t-il pas aussi au garçon, implicitement bien sûr, sans le dire : "Dis-toi bien, mauviette, que si par hasard un homme occupe une place dans le coeur de cette guerrière, ça peut être moi, mais ce n'est certainement pas toi !"
La présence de ce coach est donc parfaitement malvenue pour Tom, tout autant que celle d'un public débile qui lui crie des insultes et autres lazzis.

En réalité, ce à quoi aspire Tom, et ce dès l'origine de sa fascination qu'exercent sur lui les lutteuses et de sa folle envie de lutter avec elles, c'est à des combats privés, des combats où il est seul aux prises avec la lutteuse, avec tout au plus la présence éventuelle d'un cameraman (ou, préférablement, d'une camerawoman) qui saura se montrer aussi neutre et discret(ète) que possible. Sa défaite, il veut la savourer seul.

Ce combat-ci est en privé, il est improvisé et prend place "at home" (avec quand même les inconvénients inhérents, le manque d'espace, les meubles etc.).



Les commentaires excités sont ceux de spectateurs présents (ou peut-être rajoutés ensuite en "voix off" ?) et sont moins déplaisants que s'ils venaient d'un public en salle ou d'un coach.
D'ailleurs le commentaire ne tranche pas : "fun" ou "humiliation" ? peu importe, finalement, c'est une affaire privée, ça les regarde.

Notre excellent correspondant Amphitryon m'a signalé le combat suivant, qui me semble plein d'intérêt. D'abord il fait écho à ce qu'on peut lire dans ce type de forum sur Internet :




Il est courant que les danseuses, en dépit de physiques a priori "frêles", s'avèrent d'une force physique surprenante et parfaitement capables de lutter avec un garçon et de le dominer.
Ce film super8, remontant à 1984, présente plusieurs caractéristiques intéressantes : le combat est improvisé dans la salle de danse de la dame, lieu a priori non conçu pour cela ; ni elle ni son adversaire masculin ne montrent de qualités techniques particulières, ils ne connaissent pas tellement les prises, ont des gestes plutôt lents, improvisent plus qu'ils ne construisent. Mais c'est justement ce qui fait l'intérêt de la chose : la lutte mixte est accessible à tous, oui, et c'est ce dont ce film témoigne.





C'est un film super8 muet. C'est à la fois un avantage (pas besoin de spectateurs ni de leurs commentaires plus ou moins débiles), et un inconvénient dans la mesure où ces deux-là sont seuls et où la femme est libre d'exprimer verbalement sa domination sur l'homme, de le taquiner et de le chambrer. Car elle seule a le droit de le faire, aux yeux de Tom.

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Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 14:04

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Vous êtes un jeune homme passionné par la lutte mixte. Vous vous inscrivez donc à un club de lutte et participez à des compétitions. Avec un peu de "chance", elles seront mixtes !
Vous voilà confronté à Kara, qui, sans pitié, vous domine au sol !

YouTube - Kara pinning guys like flies at wrestling


Bon, ne nous laissons pas décourager, dirons-nous....
"Courageusement", vous changez donc de sport, quittez la lutte et optez pour le jiu-jitsu.
Coup de bol, on vous repropose un combat mixte ! cette fois avec Katie :

YouTube - Katie's first ever Jiu Jitsu match - Jacksonville, FL

Mmouais !... Là-dessus, je passe la parole à mon ami Amphitryon. Pour vous perfectionner, nous explique-t-il doctement, rien ne vaut une prof femme. Voici ce que m'écrivait Amphitryon dans une récente correspondance :

"Et Si on inversait les roles ?

Cette fois ci la prof est une belle femme et l'élève avec qui elle joue est un homme.
Elle lui donne des conseils pendant le combat qu'elle contrôle facilement puis elle le soumet
quand elle est lassée... 

YouTube - BJJ Purple Belt Gives Advice While Grappling

(la ceinture violette  est la plus haute ceinture en jujitsu. Seuls les maîtres les plus expérimentés peuvent l'obtenir.)
"

Petit détail : toutes ces expériences passionnantes se passent aux USA, car ici, en Europe, on n'est pas si avancé que ça dans l'éducation physique des jeunes garçons par des championnes, il nous reste encore bien des progrès à faire...
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 21:35

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Le récit qui suit m'a été transmis par un jeune homme qui a choisi de s'appeler Younggrappler. Je le trouve intéressant et très bien rédigé, c'est pourquoi je le publie bien volontiers dans mon blog.
Aristote


Ma première expérience de combat mixte remonte à mes dernières années de collège : en classe de troisième, mes cours d'EPS ont été occupés tout un trimestre par la lutte. J'avais alors un an d'avance, ce qui me plaçait dans les plus petits gabarits de la classe. Les autres garçons me dominaient pour la plupart d'une tête et de plusieurs kilos, aussi mon professeur avait-il décidé de me placer avec les filles. Au début, la nouvelle m'avait paru humiliante, mais en comprenant que cela m'offrait la possibilité de contacts physiques prolongés avec de nombreuses demoiselles, la honte s'était vite muée en satisfaction.

 

Une fois les échauffements effectués, des groupes de trois furent constitués, et une chance insolente poussa le hasard à m'accorder comme partenaires les deux jeunes filles les plus courtisées de la classe. Elles étaient très différentes. La première, blonde, sûre d'elle et de sa féminité, ne reculait pas devant une occasion de nous "allumer", comme on dit ; elle portait pour l'occasion un débardeur léger et un pantalon moulant qui ne laissaient rien ignorer de ses formes – ce qui aurait été dommage étant donné la perfection desdites formes, soit dit en passant. La seconde, brune, était plus timide, se mettait moins en valeur, mais sa beauté compensait amplement ; par ailleurs, sa pratique intensive de la gymnastique laissait augurer d'un corps bien sculpté, qui était pour l'instant dissimulé sous un T-shirt et un jogging informes. En d'autres termes, j'allais passer les deux mois suivants au contact de deux canons. Que demande le peuple ?

 

Tout à mes rêvasseries, je n'entendis même pas le professeur donner les premières consignes. C'est -appelons-la par son nom- Amélie, la "femme fatale" en devenir, qui me sortit de ma torpeur en me proposant de commencer. Après m'être fait répéter les grandes lignes de l'exercice, je compris que nous allions chacun notre tour tenter de retourner l'adversaire, lequel tâcherait de se maintenir à quatre pattes, pendant que le dernier membre du groupe, ici la brune Margaux, prodiguerait des conseils à l'un et à l'autre. Je me mis donc à quatre pattes. La situation plaisait visiblement à Amélie, qui fit longuement courir ses mains sur moi en ayant l'air de chercher la bonne prise avant de se placer dans la position que tous les lutteurs connaissent : perpendiculaire à moi, une main agrippant mon bras opposé, l'autre se glissant entre mes jambes pour saisir ma cuisse. Lorsqu'elle sentit l'érection que son petit manège avait provoqué, Amélie joua quelques temps de sa main le long de ma cuisse et contre mon entrejambe, avant de me chuchoter « accroche-toi » et de me retourner d'un seul coup. Margaux était restée muette, l'air perplexe. Avec un petit sourire satisfait, Amélie m'invita à inverser les rôles. J'avais retenu la technique employée, et je glissai promptement mes bras en travers de sa poitrine et de son ventre. Mais à peine étais-je en place qu'elle serra les jambes et se cambra : ma main droite était prisonnière de ses cuisses, et mon bras gauche était caressé par ses seins. J'étais incapable de réagir, et je ne parvins pas à la retourner. Les rôles furent changés, et l'entraînement resta du domaine purement sportif avec Margaux. Le professeur rappela ensuite tous les groupes au centre du tapis pour l'explication de l'excercice suivant.

 

Il s'agissait cette fois d'immobiliser l'opposant sur le dos. Un frisson me parcourut à l'idée de ce qu'Amélie pourrait bien inventer. Dès la fin de la consigne, j'allai me placer à plat dos dans notre coin de dojo. Amélie me rejoignit, suivie par Margaux. A mon grand dépit, c'est cette dernière qui s'avança d'abord. Au bout de quelques minutes d'essai, chacun était parvenu à immobiliser l'autre, aussi Margaux se releva et Amélie vint prendre sa place. Elle fut à la hauteur de mes attentes : je peine à me souvenir d'une seule parcelle de mon individu qui n'eût pas droit au contact de sa poitrine, de ses fesses ou de son entrejambe. Finalement, elle sembla se satisfaire d'un schoolgirl pin, autrement dit d'une position où elle était à genoux sur le haut de mon corps, ses cuisses encadrant ma tête et ses mains tenant mes bras écartés. Malgré mes efforts, je ne parvins pas à me libérer. Mais le voulais-je vraiment ? Mon tour venu, je la maintins au sol avec un classique headlock.

 

Les cours se suivirent et se ressemblèrent. Margaux était le témoin muet de mes combats avec Amélie, laquelle prenait toujours un malin plaisir à me faire bander comme un âne grâce à des prises inventives et à des mains expertes. Les autres garçons s'étaient aperçus de notre manège, et heureusement la plupart vantaient ma bonne fortune plutôt que d'en concevoir une quelconque jalousie. Ceci dit, la cote de désirabilité de Margaux descendait au même rythme que celle d'Amélie atteignait des sommets. Les semaines passèrent, nous rapprochant inexorablement de l'évaluation, que je redoutais non pas en raison de la note, mais parce qu'elle allait signer la fin des cours de lutte. Puis le jour fatidique arriva.

 

Comme d'habitude, le premier combat se fit entre moi et Amélie. Et comme d'habitude, l'excitation et le désir qu'elle instillait savamment en moi me firent perdre mes moyens. De mémoire, le score final était de l'ordre de 6-3 à son avantage, ou quelque chose d'approchant. J'avais encore passé un excellent moment, et je comptais sur Margaux pour poser moins de problèmes et remonter ma moyenne. Lorsqu'elle entra sur le tapis, quelque chose me semblait étrange. Ce n'est que lorsqu'elle s'agenouilla en face de moi en attendant le début du combat que je compris qu'elle avait troqué ses vêtements habituels contre une tenue plus... découverte. Son débardeur moulant et son shorty confirmait mes présomptions quant à ses formes : magnifiques. Le combat allait donc joindre l'utile à l'agréable ! Cependant, dès le début, sa résistance inhabituelle me surprit. Alors qu'auparavant j'arrivais à la retourner sans trop de problèmes, elle tenait bon. Au terme de plusieurs corps à corps acharnés, je parvins à la mener par 3 à 0. Le temps imparti arrivait à son terme, aussi décidai-je de tenter le tout pour le tout afin de grapiller un point supplémentaire. Mal m'en prit ! Je l'avais déséquilibrée vers l'arrière, mais ses pieds vinrent crocheter mes cuisses. La gymnastique avait porté ses fruits, ses jambes étaient musclées, et elle n'eut aucune difficulté à me faire chuter sur le côté. Elle suivit le mouvement, et se retrouva allongée sur moi. Immédiatement, ses bras enserrèrent mon cou et mes épaules. Seules mes hanches pouvaient me permettre de me libérer. Je commençai à accomplir un mouvement de bascule, quand un détail, ou plutôt deux détails me revinrent à l'esprit : ses pieds. Ils n'avaient pas bougé depuis qu'elle s'en était servi pour me retourner, et se trouvait donc à présent contre mes cuisses. Sentant que j'hésitais, elle affermit la prise de ses cuisses sur mes flancs, et remonta légèrement les mollets pour m'immobiliser les hanches. Ses pieds étaient désormais tout contre mon entrejambe. Leurs plantes se touchaient, et chacun remontait sur une de mes cuisses. Coup de grâce, elle s'en servait pour lentement mais sûrement m'écarter les jambes. L'érection ne se fit pas attendre. Mais je ne devais pas perdre ce round, aussi me démenai-je comme un diable pour sortir de cette prise qu'Amélie n'aurait pas reniée. Margaux tenait bon, et ramenait ses pieds entre mes jambes dès que je parvenais à les en déloger. Mes épaules se décollaient du sol assez régulièrement pour remettre le compte à rebours à zéro, et puisque le professeur ne voulait pas interrompre le combat au mileu d'un moment aussi crucial, le corps à corps dura quelques minutes. Puis une intense chaleur envahit le bas de mon ventre. Je cessai de me débattre, ce que Margaux sentit. Elle raffermit sa prise, et ses pieds frottèrent une fois de trop contre mon entrejambe. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, mais un intense plaisir rayonna dans tout mon corps, me laissant sans forces. Les 30 secondes règlementaires furent atteintes, et Margaux se décolla lentement de moi. Avant d'aller se changer, elle me lança un sourire mi-triomphant, mi-amusé.

 

Je compris peu après que je venais d'avoir ma première éjaculation. Le mot n'évoquait pas grand-chose en moi, en revanche j'étais prêt à tout pour connaître à nouveau ce plaisir, sentir un corps pressé contre le mien, et surtout revoir cette expression sur le visage d'une adversaire victorieuse. J'étais entré dans le cercle des amateurs de lutte mixte.

 

Younggrappler

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Vendredi 13 mars 5 13 /03 /Mars 11:22

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Dans un récent courrier, l'adorable - et redoutable - Anne Hurricane nous annonce une prochaine rencontre qu'elle espère bientôt organiser avec des lutteuses.

En soi, l'idée d'un nouveau meeting avec de fortes femmes est absolument exaltante.
On se sent comme transporté d'enthousiasme, vraiment !

Ce genre d'occasions rares de vivre des expériences nouvelles est vraiment de nature à remonter le moral, cela agit comme un ballon d'oxygène dans les vies ternes de beaucoup d'entre nous et j'en connais qui ne rateraient cela pour rien au monde.

C'est pourquoi je me fais l'interprète de beaucoup pour féliciter Anne de cette initiative et lui prodiguer tous nos encouragements.


Je cite le message d'Anne "vous pourrez rester avec nous durant tout le week end et prendre vos repas en notre compagnie". Dans la version anglaise : "you may stay with us and have your dinner with the girls".
Mmmh ! L'idée n'est pas nouvelle à vrai dire (cf. photo ci-contre), mais elle est pleine d'intérêt.
L'idée de savoir qu'on est "attendu à table",alors même qu'on est en train de se faire dominer au sol par une jolie lutteuse, est bien excitante ! Savoir qu'on ne va pas se séparer comme ça, non, il y aura une suite à cette empoignade, on pourra partager un peu de sociabilité avec elle et d'autres filles, voilà qui est fort convaincant.

S'agira-t-il de "vrais" repas ?
Je me permets de poser cette question à Anne, car il y a des précédents...
Ainsi, la célèbre Robin, lutteuse mondialement connue et fort appréciée d'ailleurs : dans un premier temps, elle fait semblant de se rendre dans la cuisine dans le dessein de vous apporter à manger, et puis dans un deuxième temps, elle se contente de s'asseoir sur votre figure pour ne vous donner à brouter que son postérieur ! Et on sort de là en ayant toujours faim !

Mais reportons-nous au site d'Anne pour en apprendre davantage. Voici ce que je lis, sur l'intéressante page d'accueil d'annehurricane.com :

"De nouvelles victimes vont être testées mi-mars à Paris. J'aurai le plaisir de découvrir deux volontaires prêts à subir mes moqueries et mes coups, souffrir dans mes ciseaux et étouffer sous mes fesses lol je me réjouis de vous faire partager tout cela.
N'oubliez pas de me faire part de vos suggestions autant pour les vidéos que pour ce site. Le forum est ouvert à tous ... c'est l'endroit ad hoc pour discuter et partager alors ne soyez pas timides :-) "


Il est vrai qu'Anne n'en est pas à son "coup" d'essai, si je puis m'exprimer ainsi.
Il y a plusieurs années qu'elle nous dit "aimer le bruit que font les noisettes", sans doute son plat préféré...
Anne a raison !
Ne soyons pas timides, voyons !















Venons tous au prochain tournoi d'Anne ! venons y "manger", car il y en aura pour toutes les faims hurlantes, pour tous les appétits dévorants !
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Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 10:12

Publié dans : rencontres avec des lutteuses
C'est une histoire qui remonte pas mal dans le temps et qui, sans doute, mériterait d'être actualisée au travers de témoignages plus récents.
C'est l'histoire d'un Français, Paul, se prétendant "célibataire" et "libre" et qui se cherche une amie dans le milieu des arts martiaux. Après bien des déboires en France avec quelques sportives bien de chez nous - mésaventures sur lesquelles nous ne nous étendrons pas - il vient à notre homme une idée lumineuse. Les arts martiaux ne sont-ils pas nés en Orient ? Alors pourquoi pas se tourner vers une Asiatique ? La mode était d'ailleurs lancée depuis quelque temps en Europe d'aller chercher l'âme-soeur en Extrême-Orient, alors pourquoi pas lui ? C'est pourquoi nous l'appellerons Paul Asiatophile. Mais lui ne voulait pas d'une femme ordinaire, il lui fallait une championne en arts martiaux !

Une agence propose ses services.
On prospecte pour son compte en Asie, donc. On lui signale une dame dans sa tranche d'âge, désireuse d'entrer en contact avec lui, et qui lui fait parvenir deux photos pour se présenter. Cette dame cherche à refaire sa vie avec un Occidental.

"Mmm...oui, pas mal, mais enfin sans plus !" répond Paul. En fait, outre son aspect intimidant, cette mégère avec son chignon ne correspond pas exactement au profil qu'il a en tête de celle qu'il recherche.

Car cette amie asiatique  - il reste hélas bien flou sur ses intentions précises : car enfin, veut-il se marier ou simplement une fréquentation ? -, finalement, après réflexion, il ne la souhaiterait pas précisément dans sa tranche d'âge !

"Vous n'auriez pas une fille jeune et sexy ? avec des cheveux longs et dénoués ? une pratiquante en arts martiaux, bien sûr..."
L'Asie est, comme chacun sait, un continent très peuplé, et on lui trouva sans peine une jeune femme qui semblait correspondre à ses souhaits. Ce n'est pas deux, mais trois photos qu'il reçut de cette candidate à faire sa vie avec un Occidental, trois photos jointes à une lettre où elle se plaignait du machisme régnant dans son pays. Cependant, e
lle s'entraînait avec des hommes.




La devise de cette charmante enfant :
"Mon coeur est à prendre... mais mon corps est à respecter !"
Ses partenaires d'entraînement préféraient
que leur visage reste flouté ou carrément coupé sur les photos.

Elle se cherchait un Occidental "non macho" et espérait que Paul Asiatophile corresponde au profil recherché !

Pour des raisons que notre ami  ne souhaite pas expliciter, il se déroba également à cette offre de rencontre !
Quelques mauvaises langues - en particulier ses "ex"- sussurrent qu'en fait ce type n'a jamais bien su ce qu'il voulait dans la vie...

Ce témoignage isolé mériterait d'être recoupé avec d'autres. Car si des études sociologiques existent sans doute sur les rapports entre homme occidentaux et femmes asiatiques, aucune, à notre connaissance, ne s'étend autant qu'il conviendrait sur le cas particulier des femmes asiatiques qui se sont entraînées à contester la domination masculine sur le terrain du combat physique.



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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 16:13

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

"Sortez couverts" est le conseil que les animateurs de télé style Dechavanne ne cessent de nous donner, soucieux qu'ils sont de notre bien-être autant que de santé publique. Soit..

Sortons couverts, OK, mais couverts de quoi ? Toute activité est dangereuse, par les temps qui courent, c'est ainsi que les spécialistes de sécurité nous disent que tout cycliste devrait se couvrir d'un casque, alors que, paraît-il, seulement 15% d'entre eux le font.

Quelles protections faut-il prévoir quand on fréquente une sportive pratiquant les arts martiaux ? le casque n'est sans doute pas la première idée, avant toute chose il faudrait prévoir une coquille, semble-t-il. C'est du moins l'impression qu'on retire quand on visionne certaines vidéos sur youtube, par exemple celles que voici :

YouTube - Karatedom clip 02

YouTube - Chinese Kung fu girl "So Cool"

Mais ces deux premières vidéos sont trop classiques, trop prévisibles, les coups portés sont trop attendus, téléphonés, on le sait bien que ces filles apprennent la self-defense....

Aux "katas" préfabriqués je préfère pour ma part la "cata" inattendue quand on se retrouve aux prises avec une demoiselle  comme celle-ci :

YouTube - Martial Arts Ass Whooping

Là c'est improvisé, et c'est de la vie au quotidien, comme celle que je mène avec mon épouse, comme celle de notre ami Amphitryon... des vies enviables, n'est-ce pas ?

Et que penser du chanteur Enrique Iglesias quand il évoque sa copine la championne de tennis Anna Kournikova, qui le domine à la lutte, parce qu'elle a des réflexes supérieurs ? des couples comme ça, il y en a pas mal !

Interview d'Enrique Iglesias


Ajouté le 27/03/08 : que penser enfin de tous ces témoignages rassemblés ici :

Comments: Can you (woman) overpower your husband/friend?

Témoignages authentiques ? fantasmés ? Je suis désolé pour ceux qui ne lisent pas l'anglais, mais la page est longue et la traduction prendrait des heures.
D'ailleurs je vous rappelle à tous que vous avez toute liberté d'apporter ici vos témoignages à vous, en français, sur la domination féminine à la lutte.

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Mardi 22 mai 2 22 /05 /Mai 09:22

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Faire un bras de fer avec cette Japonaise aux muscles durs et noueux, c'est un sacré risque ! celui de se faire battre par une femme, de se faire humilier publiquement.
Beaucoup d'entre nous sont déjà résignés à cette éventualité, d'autres auront peur pour leur ego et ne s'y risqueront pas, d'autres encore tenteront bravement leur chance...

C'est toujours une épreuve pour un homme que de s'affronter à une femme plus forte que lui, même et surtout si c'est de manière purement "physique" et musculaire qu'elle prouve sa supériorité. Car la plupart des femmes, plus fines, obtiennent la victoire plus par leur agilité, leur souplesse, leur science du combat et leur agressivité, que par la force pure.



Or voilà que Tazzie, sans se presser, vous propose de vous mesurer à elle à la lutte. Notez le contraste entre sa tranquille assurance, cette invitation du bras qui vous saisit jusque derrière la nuque, et l'effroi qui vous fait trembler  jusqu'au bout des doigts. Car vous avez pleinement conscience qu'elle est tout bonnement bien plus forte que vous, que son bras puissant va vous attirer à elle, inexorablement.


Cette brave Tazzie vous presse contre son coeur : viens par ici, mon amour ! vous voilà coincé contre son thorax, tendant vainement de faire lâcher ce bras au gros biceps qui vous tient si fort. Avez-vous la moindre chance de vous dégager de l'étau ? certainement pas ! mais où cette "prise de tête" vous conduira-t-elle ?
Au sol, bien sûr... au sol, où tout peut encore arriver. La suite est montrée sur youtube :

YouTube - Mixed Mat Big Girl Knee to the Head

Au sol, elle est en position supérieure, bien sûr... et c'est du genou qu'elle vous contrôle, de ce genou qu'elle appuie systématiquement en divers points du corps pour vous faire mal. Car le but de l'opération n'est pas tant de vous vaincre à la lutte que de vous punir, de vous écraser, de vous faire définitivement prendre conscience que c'était un pari trop risqué que d'oser s'affronter à une femme bien plus forte, qu'elle ne vous fera pas de cadeaux, que votre défi doit se payer par un "mauvais quart d'heure" et se terminera par des douleurs aux côtes dans les jours qui suivront.
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Vendredi 23 février 5 23 /02 /Fév 10:05

Publié dans : rencontres avec des lutteuses
Je voudrais répondre ici à "Fantasmo" qui a fait deux commentaires à  mes articles sur les rencontres avec des lutteuses : dans l'un il dit rêver d'avoir bientôt la chance de se trouver une amie lutteuse, dans l'autre il dit vouloir créer un club amateur de lutte mixte à Marseille. Je pense que ces deux objectifs sont contradictoires.
Je lui souhaite beaucoup de succès pour le premier objectif et je pense qu'avec un peu de persévérance il devrait se trouver une copine lutteuse. En revanche je ne crois pas qu'il soit facile du tout de créer un club spécialisé dans la lutte mixte.
Supposons qu'il ait trouvé sa copine lutteuse : acceptera-t-il qu'elle lutte avec d'autres hommes dans notre genre, qui sont excités par la lutte mixte ? et l'acceptera-t-elle ? là est toute la question. En ce qui concerne ma compagne la réponse est formelle et c'est "non". Et je pense que c'est le cas général, sauf le cas très particulier des couples qui auraient un petit côté échangiste. Mais je suis tout prêt à en discuter... ou à me laisser convaincre du contraire par ceux qui montent des groupes de lutte mixte sur yahoo et qui pourraient démontrer que la chose est possible dans une démarche purement amateur.
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Mardi 9 janvier 2 09 /01 /Jan 22:16

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

En parcourant les sites consacrés à la lutte mixte, notamment les forums, les groupes et listes de diffusion, on peut se rendre compte à quel point est forte la demande masculine de rencontres avec des lutteuses.
J'ai parfois l'impression d'être un peu à côté de la plaque en rédigeant un blog dans lequel je n'ai rien à proposer aux demandeurs
de "concret" : aucune nouvelle photo à publier sur le Web, aucune vidéo à vendre, aucune  lutteuse à présenter aux amateurs de combats féminins ou mixtes.

Ma femme me domine à la lutte, certes, mais elle se réserve pour moi. Comme la quasi-totalité des championnes de sports de combat qui se sont mariées, elle ne souhaite nullement exercer ses talents sur d'autres hommes que son époux. C'est peut-être dommage mais c'est ainsi. Tous ceux qui sont en quête d'occasions de combats mixtes doivent chercher ailleurs.

Dans ce message et dans ceux qui suivront au sein de cette catégorie intitulée "rencontres avec des lutteuses", je voudrais discuter un peu en détails de ces rencontres et tenter d'apporter des éléments à un éventuel débat. Je vais le faire sur la base de mon expérience personnelle, mais aussi à partir de divers témoignages et réflexions recueillis ici et là au cours du temps. Je voudrais ici être concret et le plus réaliste possible : pas de fictions dans ces messages, seulement du réel, du vécu, et des leçons à en tirer.

Je parlerai de l'entraînement dans des salles de sport où des pratiquants des deux sexes peuvent se rencontrer et, dans une mesure restreinte, développer une pratique mixte des sports de combats.
Je parlerai des particularités que revêtent des relations intimes avec une sportive de haut niveau qui fait de la compétition, notamment dans les sports de combat. Elle a en général beaucoup de mal à concilier son sport avec une vie privée harmonieuse.
Je parlerai d'un autre sujet sensible, à savoir les sessions avec les lutteuses professionnelles : ce que je pense de ces sessions, et les conseils que je me permets modestement de donner, moi qui les ai expérimentées auparavant mais n'est plus client de sessions, et cela d'autant plus que ma femme comble toutes mes envies au quotidien.

Je n'aurai pas de recettes miracles à proposer à l'un ou l'autre d'entre vous pour trouver "la" lutteuse de ses rêves. Tout au plus, en me permettant de donner quelques conseils utiles, je pourrai peut-être éviter à certains de faire des erreurs. En tout cas je n'ai aucunement la prétention de détenir la vérité. Le débat reste ouvert avec toutes celles et tous ceux que la lutte mixte passionne, qui veulent faire partager leurs expériences et en discuter.


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Lundi 8 janvier 1 08 /01 /Jan 20:43

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Tout jeune homme qui veut lutter avec des filles devrait commencer par fréquenter les endroits où il rencontrera près de chez lui des sportives dotées de qualités athlétiques réelles. Ce n'est pas sur Internet qu'il les rencontrera. Pour cela, il faut qu'il se déplace, qu'il se bouge, elles ne viendront pas toutes seules à lui. Une bonne chose à faire est d'assister à des entraînements et à des compétitions dans tous les sports nécessitant du muscle : athlétisme, gymnastique, danse (toutes les danseuses aiment avoir des spectateurs et admirateurs), natation, escalade, sports collectifs (basket, handball etc.).

Dans un club sportif d'un bon niveau, on trouve toujours quelques filles qui aiment rivaliser avec les garçons et lutter avec eux sur un terrain ou un autre. Ce n'est pas forcément dans un club de sport de combats qu'il en rencontrera le plus.
Parce que dans un club de sports de combat, il va rencontrer des filles qui s'entraînent déjà au combat, qui ont passé le stade de la découverte et des premiers  défoulements, des filles qui n'attendent donc pas après lui. Tandis que dans un autre sport il peut avec un peu de chance tomber sur une fille musclée qui aimerait montrer sa force et s'exprimer dans le registre du combat alors qu'elle n'a jamais eu l'occasion, tout simplement parce que dans son entourage on ne le lui a jamais proposé.

Cela dit, tout amateur de lutteuses devrait, lui, être inscrit dans un club de sports de combat, surtout s'il n'est pas très costaud ni très doué pour ça. Le but n'est pas d'abord d'y rencontrer des filles avec lesquelles il pourra lutter, le but est au départ de s'améliorer et d'apprendre un minimum de techniques. S'il est du genre faiblard et pas doué, il devra donc se forcer, se convaincre lui-même qu'il est capable de fréquenter un tel club et de s'entraîner avec des garçons, même s'il préférerait mille fois plus le faire avec des filles. A terme il y gagnera sur tous les plans, il y gagnera de l'assurance, de l'estime de soi, et cela comptera dans ses futurs rapports avec les lutteuses.
Dans un club de sports de combat, il est très mal vu d'afficher qu'on vient seulement pour s'entraîner avec les filles, d'autant que les moniteurs préfèrent par principe séparer les sexes. Il faut impérativement accepter cette règle du jeu, il faut "faire ses classes" avant d'inspirer suffisamment confiance pour gagner le droit de s'entraîner avec des filles.

Les lutteuses de tous les genres (que ce soient de simples copines chahuteuses, des filles qui s'entraînent dans des clubs amateurs ou des professionnelles qui font des sessions) n'aiment pas trop lutter avec des hommes complètement novices en combat, ne serait-ce que parce que ça augmente le risque d'accidents. Les hommes passionnés de lutte mixte sont plus nombreux qu'on ne croit et sont de toutes espèces : des sportifs, des non sportifs, des riches, des pauvres, etc. Ceux qui ont le plus d'occasions de vivre leur fantasme, c'est sans aucun doute les sportifs, parce que c'est avec eux que les filles préfèrent lutter. Elles n'exigent pas qu'ils soient des champions, mais elles apprécient qu'ils aient un niveau minimum.

Copyright du dessin : Jepeh & Bregman, LES IMPATIENCES AMOUREUSES

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  • : Vaincu par Elle
  • Vaincu par Elle
  • : Divers
  • : Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
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  • : 16/12/2006

Chronologie


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dans l'ordre chronologique de parution

Hier encore j'ai voulu lutter avec elle
combats mixtes en privé (1)
combats mixtes officiels (1)
combats mixtes au cinéma (1)
Deux filles à poigne
Ce soir, ça va être ma fête !
Le catch sexuel (Union, 1981)
petites annonces des années 80
Gifles et sumo
Le dressage d'Aristote (1)
Bras de fer mixtes
Se retrouver sous elle
Ma découverte de la force féminine
Vengeances tardives
Il voulait lutter avec elle
Démonstrations de force féminine
Intimidante Tazzie
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La fréquentation des sportives
Pas de recettes miracles
Le mariage de la princesse Katun
J'ayme une fille de village
Cueillette
Le dressage d'Aristote (2)
Annibale Carracci et ses femmes sculpturales
L'amour avec une plus grande
Lutteuses, attention aux satyres !
combats de lutte mixte (suite)
Le monde du BDSM et nous
Evitez de leur chercher noise
Combats féminins de référence
Défis, tests et vrais combats
Baigneuses robustes
Femmes fortes d'autrefois
Combat mixte en MMA
Le dressage d'Aristote (3)
Véronèse profane
En Asie le plaisir, parfois l'ennui
Maggie Jennings lutteuse et artiste
La sensualité du muscle féminin
La tentation des fesses
Improbables clubs de lutte mixte
Isabelle Rouveure
Bras croisés, force et assurance
Pour fêter le 8 Mars
Un film-culte : Faster Pussycat kill ! kill !
La vie quotidienne avec une lutteuse
La main sur la gorge et sur le visage
Lenkiewicz et ses jolies modèles
Croquis souvenirs
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Le dressage d'Aristote (4)
Combats mixtes officiels (2)
Combats mixtes au cinéma (2)
Combats en privé (2)
Regards furieux et dominateurs
Bien plus forte que toi
Livre sur les Amazones
Russell Flint and the strong girl
Louise Lecavalier, danseuse hors norme
Femmes fortes d'autrefois (2)
Bras de fer mixte (2)
Par devant ou par derrière
Le dressage d'Aristote (5)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon
Luttes mixtes sur youtube
Brunhild face à Gunther
La nuit de noces de Gunther
Brunhild face à Siegfried
Elisabeth de Poméranie

Sourires d'une nuit d'été
Très jeune et déjà vaincu par elle
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A propos de leurs jambes
Jambes ouvertes, offertes, danger!
Souffrir entre leurs jambes
Vaincu par Liza
Un mois déjà
Mordre la poussière
François Boucher (1)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (2)
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Souffrir entre ses cuisses huilées
Lutteur réglo cherche Amazone austère
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Témoignage : une femme bat son mari
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Trois cartes postales de monuments historiques
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Se frotter à une judokate
Un combat mixte de kickboxing
François Boucher (2)
Quelques bras de fer (2)
Belle, forte et menaçante

Une excitante défaite en cours d'EPS

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"Comme les deux doigts", roman

Un rêve compromettant

Gaillardes et mauviettes

A la recherche d'une Asiatique

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Gaillardes et mauviettes (2)

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Epouse trop forte

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Quelques odalisques (5)

La prochaine fois je tourne la main  

Femmes musclées nues

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Erotique de l'exhibitionnisme musculaire : magazines

Ma première expérience sportivo-érotique avec deux filles de la classe

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Confrontations assises

Ma femme fait du judo (Fernandel)

Elle me bat au bras de fer (Higelin)

J'suis comme un chien mouillé (Renan Luce)

La quête difficile d'une relation inversée

L'impossible tentative de fuite

Vidéo perdue et provisoirement retrouvée

Gaillarde japonaise retrouvée

Ruth, l'éternelle incomprise

La lutte mixte est-elle accessible à tous?

Se faire boxer : de la peur au plaisir

Des progrès incessants, mais pas partout

Wedge, notre "professional victim"

D'une époque à l'autre

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Un peu de tourisme à Liège 

Kimberli, dernière terreur en date des garçons 

Une agréable prison, serré contre la belle 

quelques beaux diaporamas 

A la recherche d'une Asiatique (2) 

Drôlement musclée, la fille...

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Eprouvants jeux de bras avec la souriante Kim 

Vraiment besoin d'une fille aux gros bras? 

A la recherche d'une Asiatique (3)

Intermède caritatif 

Prendre la place du ballon
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Meilleurs voeux, et vive le blog de Xana !

Premier sondage des lecteurs

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (1)

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Sensualité et spiritualité
Un destin tout tracé
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Vos goûts sur quelques régions (sondage)

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Une Hongroise qui vous presse contre son sein

Un risque de violence conjugale

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A Amsterdam, un certain matelas

Deux sondages sur les confrontations homme/femme

Madame porte la culotte (film)

L'un des meilleurs films de domination

Pas assez de sexe ? dialogue Lucius-Aristote (1)

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Tu vas pas remettre ça ? si !

Le masochisme du demandeur de coups bas

Virago, viragophile et viragomaniaque

Le "meilleur film" de domination de retour !

Jacques Villeret, sa mob et sa virago

Le couple fatal Gérard Depardieu - Faith Minton

Une femme peut-elle violer un homme ? (1)

Une femme peut-elle violer un homme ? (2)  

Une femme peut-elle violer un homme ? (3)

Le fantasme d'être pris de force par une femme

Le film de boxe mixte, entre fiction et document

Une viragophilie gérontophile (1)

Une viragophilie gérontophile (2)

Une femme venge son sexe

Un beau combat mixte actuellement en ligne

Belle et cruelle Antscha

Kyra, encore une Hongroise décidée à vaincre les mecs

Une femme peut-elle violer un homme ? (4)

Fêter le 1er mai avec une femme libérée

Un entretien d'embauche assez spécial

Du rêve à la réalité

Une ex-catcheuse se venge

Elle le bat et le ratatine sans discussion possible

Anodin, ce site de vidéos sur youtube ?

Lutter avec une naïade

Résister au harcèlement

Dressé par une méchante femelle

Une femme peut-elle violer un homme ? (5)

Ces femmes balaises qui abusent de leur force

Quelques films d'anthologie provisoirement en ligne

Une charmante athlète au bras fort et beau

La Japonaise et le fétichiste

Viktoria et bien d'autres... encore une nouvelle chaîne

Deux questions de Chapeau Melon à Aristote

Ceux qui tentent d'attaquer et les soumis d'avance

Celles qui nous surprennent

La lutte soumission : une domination sans jeu de rôle

Découvertes dans les musées de Paris

Fascination, hésitation, impuissance du voyeur

Actualité des vidéos en ligne - 24/08

Histoire imaginaire

Bras de fer imaginaire

Se faire écarteler ou se faire serrer ?

un masochisme rigolo

Les sessions, quand on hésite à en faire 

Les gladiatrices à l'époque romaine

A la télévision, les Nibelungen (1924)

Les sessions, quand on hésite à en faire (2)

Actualité des vidéos de combats mixtes sportifs

Actualité des vidéos de lutte fantaisie (18/10/11)

Une nuit dans un quartier chaud

Vidéos avec dialogues en français

Vaincu et piégé par une grande athlète noire

Le duo Faith Minton Gérard Depardieu remis en ligne

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (1)

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (2)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (1)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (2)

Une diva nommée Nadia

L'enlèvement d'une Sabine, aventure risquée

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (3)

Rêve de Noël : épouser une géante de choc !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (4)

Article de BIBA mentionné par Lucius et Raoul

Pour la Nouvelle Année, des baisers !

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Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (5)

La danse classique mène à tout

Introduction à la ciseaulogie (1)

Introduction à la ciseaulogie (2)

Obscurément battu, et giflé comme il le mérite

Deux hommes, une femme plus petite, trapue...

A propos des histoires d'hommes violés (Lucius)

A propos de la ciseaulogie (par CRJ 57)

Réponses de Lucius et Aristote à un commentaire de CRJ 57

La santé de ce blog dépend de celle de ses collaborateurs

Bénabar se prend des râteaux

Tu as bien dit : "anorexique" ?

Seins nus, musclée, dominatrice, maternelle

Un gros vilain à reprendre en mains

Retrouver Ani sur son lit, démarche téméraire

Philippe Martinery et ses femmes costaudes

Les ébats passés des jeunes danubiennes et danubiens

La conclusion rêvée : une pose en signe de victoire

Muscle féminin (1) : exhibitionnistes involontaires

Entraînements mixtes pour jeunes générations

Dialogue Lucius-Aristote sur les entraînements mixtes

Muscle féminin (2) : allumeuses et allumées sur Webcam

Muscle féminin (3) : allumeuses qui jouent des biceps et des pecs

Muscle féminin (4) : collectionneurs de photos

Muscle féminin (5) : caresseurs, peloteurs, baiseurs

Muscle féminin (6) : calmer la lutteuse et la peloter

Muscle féminin (7) : vidéos de dominations et fétichismes

Un clip "porno" proposé par Lucius

Muscle féminin (8) : Christa BAUCH, déesse du fétichisme

Prendre une leçon de jiu-jitsu

Indomptables gymnastes asiatiques

Lutteuses, art et poésie

Exposition Robert CRUMB à Paris

Paris, ville déconseillée sur la liste wb270

Sondage : votre idéal de femme (physiquement)

Rosy la bourrasque (Depardieu - Faith Minton)

Ces filles aux jambes puissantes : danger !

Alors, ces vacances, comment ça se présente ?

Message de vacances

Henri d'Orcines et sa lutteuse

Les trois soeurs Panaitescu

Parties de jambes en l'air

Retours de vacances

Une belle et grande dominatrice

"L'Amazone" de Georges PIOCH (1912)

Kara leur fait mal, les bat, les humilie (les mecs)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (1/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (2/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (3/3)

Vidéo : un garçon dominé à la lutte par son amie

Trinity en action : comment qu'elle le porte et le trimballe !

La sagesse de Charles FOURIER (1772 - 1837)

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Photos de famille

Sondage : quelle défaite préférez-vous ?

Les gladiatrices, trident, fourche, mythe et réalité

A propos de Krafft-Ebing, du sadisme et du masochisme

"Martin Roi", roman sur le masochisme (2003)

Une séance SM au déroulement imprévu

Affolé par les seins de la belle, et vaincu par elle

Fière de ses muscles, de ses seins, dominatrice

La jolie Miss Géraldine au 6ème anniversaire du blog

Pourquoi j'adore ça ? Et elle, pourquoi ?...

L'inquiétude existentielle d'Aristote

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Confrontation d'une lutteuse et d'un intello

La lutte mixte comme jeu amoureux (1)

Une femme peut-elle aimer un maso ?

Dominations féminines incontestables

Maris battus, autrefois si moqués

Maris battus, victimes à plaindre de nos jours

Humiliantes expériences 

Vous avez dit "sthénolagnie" ?

"Comment j'ai su que ce n'était pas lui" dit-elle...

Vidéos de lutte mixte en ligne (juin 2013)  

Lutte mixte et pornographie

Clay et autres battus : des masos mal-aimés ?

Naissance d'un mythe : Vanessa

Une infirmière qui vous prend en charge complètement

Lutte domination, histoires vécues par CBT

Bodybuilding, érotisme et pornographie (historique)

Ma femme de fer

Bras de fer et culte du muscle

Des romans érotiques à redécouvrir

Une escaladeuse atypique

Apprentissages en images

Un coup de fil de Chantal, la maman de Josy

Femmes fortes de la Belle Epoque

Femmes fortes des années 50  

Redoutables héroïnes de mangas

Lana la fille sans voiles et sans tabous

Leurs masochismes à eux, leurs sadismes à elles

Lutteuses sportives et dominatrices

Histoire vraie, par RC

Plus grande, plus forte...

Judith et Holopherne, images et commentaires à venir

Comment me contacter par e-mail

La lutte comme prélude à l'amour

  Ariqstote vaincu par Walka (1/2)

Mixed wrestling sur youtube en cette fin 2014

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