Présentation

Je partage ma vie avec la femme que j'aime. Elle me surpasse de beaucoup par ses qualités athlétiques : souplesse féline, rapidité d'attaque, force musculaire, et aussi par une connaissance des arts martiaux qu'elle a acquise durant des années de pratique. Connaissant mon goût pour la lutte, elle aime m'agresser et me donner des coups pour me prouver son amour. Quand elle me provoque en combat, elle me bat toujours et m'oblige à implorer sa clémence.
Dans ce blog je veux d'abord témoigner de ce bonheur qu'est ma vie quotidienne. Je veux aussi rassembler tout ce que j'ai pu voir et apprendre, non seulement sur le thème de la lutte mixte, mais plus généralement sur tout ce qui concourt à l'exaltation des prouesses de l'amazone victorieuse du mâle : expériences vécues, photographiées, filmées, histoires réelles ou légendaires, contributions des arts et de la littérature.


Mardi 7 février 2 07 /02 /Fév 10:35

Publié dans : débats d'idées et de société

 

Note préliminaire d'Aristote : le témoignage ci-dessous paraît sous la responsabilité de son auteur, CRJ 57. Il y a des choses que moi, Aristote, je n'aurais pas écrites, et on pourra en discuter si un débat s'engage. Mais on ne le fera que si un débat s'engage, au stade actuel je ne veux pas du tout censurer notre collaborateur CRJ 57 et le laisse s'exprimer en toute liberté.

Les photos qui illustrent l'article sont sans rapport direct avec son contenu : CRJ n'a jamais fait de sessions avec les lutteuses qu'on voit ici en photos.

En particulier la dernière photo provient du forum girlpower, où une nouvelle lutteuse, Bambina, se fait remarquer en ce moment par ses interventions qui sont celles d'une femme de caractère et de tempérament. Ce qui ne gâte rien, elle a de très belles jambes, galbées, musclées, féminines, et dit adorer faire des sessions et faire souffrir les hommes dans ses ciseaux.

Je précise que ni CRJ ni moi ne connaissons Bambina. Mais elle mérite qu'on parle d'elle, sans lui faire de publicité directe mais pour l'information de nos lecteurs.  

 

A propos de la ciseaulogie, mon témoignage

par CRJ 57

 

Bravo à RF pour ces deux fulgurants articles sur la ciseaulogie, avec revue de détails de tous les 3036444633_1_3_94eQNVyZ.jpg ciseaux existants et de leurs éventuels dégâts collatéraux possibles...

Moi aussi, j'aime les jambes des femmes :

* Déjà les (très belles) jambes des (très belles) femmes, pour lesquelles une loi devrait rendre obligatoire le port de la mini-jupe en toutes saisons, (surtout maintenant...)

* Mais surtout, mon admiration va aux jambes des lutteuses et sportives : cuisses fuselées et aérodynamiques des bodyfitness, tenniswoman glamour, lutteuses catfight , ou quadriceps explosifs des sprinteuses black, des Serena Williams, des bodybuildeuses.

Les spécialistes du sport indiquent qu'il y a environ 8 % de différence  de force physique entre les cuisses des hommes et celles des femmes. Mais la fréquentation des sportives et lutteuses m'a confirmé qu'en fait il y a égalité de puissance. Vexant n'est-ce pas ???


Yasmin2.jpg Je suis un macho du genre obstiné qui considère que céder à un ciseau porté par une femelle, c'est déchoir... Et donc très régulièrement après une session avec une lutteuse de force moyenne, j'ai les cervicales, le cou, les mâchoires endolories pendant une semaine... Mais j'ai résisté aux étranglements portés !

Par contre, les ciseaux que portent les lutteuses black, aux cuisses surpuissantes, sont quasiment insoutenables... A ma grande honte, j'ai du "abandonner" deux ou trois fois face à Kassidy, qui me broyait littéralement. J'attends la réponse d'Aristote, qui m'a promis de financer ces sessions, de rééditer ces expériences face à Lethal Véronica ou Sherkaan...

Une lutteuse experte en arts martiaux m'a une fois provoqué sur un ciseau un étranglement sanguin, avec évanouissement, qui aurait pu être létal, si elle n'avait immédiatement appliqué des "kuatsu" (techniques de réanimation...). Je dois être maso car je l'ai revue régulièrement pour revivre cette expérience (en plus soft) jusqu'à sa retraite sportive...

Un regret : aucune lutteuse ne m'a jamais proposé de cunnilingus... Mais cette position, si elle n'est pas insoutenable, permet d'agréables coups d'œils... Une lutteuse, par ailleurs ravissante, avait revêtu pendant une session un string translucide : ce qui me permettait d'apprécier aussi bien qu'un gynécologue l'anatomie sexuelle féminine. Et j'ai demandé pendant cette session quasi-exclusivement des ciseaux.

figurefour.jpg Remerciements à RF pour ce conseil : ne plus se raser. Mes joues glabres sont maintenant un mixte de porc-épic/hérisson.

Une précision sur le "ciseau triangulaire", qui est le plus infernal des ciseaux, avec cette variante, le "figure 4 head scissor " (le 4 tire son nom de la position des cuisses qui une fois positionnées font penser à un chiffre 4...). Cette prise est d'une incroyable dureté, car outre la puissance des cuisses qui permet à elle seule de mettre KO un adversaire, la lutteuse utilise un bras pour tirer sur l'une de ses jambes, alors l'effet de levier ajouté à la puissante contraction des cuisses en font une prise mortelle, dont il est quasiment impossible de se dégager....

Mais ma technique de soumission favorite reste le "grapevine pin", où la femme, dans le but sans doute d'effacer des siècles de soumission (?), tente d'ouvrir de force les jambes de l'homme...

Au plaisir de vous lire prochainement, RF, sur ce sujet !

Dans ce monde vétuste et sans joie, qui cumule les interdits, il ne nous reste que le choix de notre mort : je préfère mourir entre les cuisses ou les bras d'une amazone surpuissante que "vivre" à petit feu, à petit bruit, à petite soupe. "Mourir, cela n'est rien, mourir la belle affaire, mais vieillir..." (Brel)


jambes-de-bambina.jpg


On peut voir d'autres photos de Bambina, dialoguer avec elle et la contacter sur le forum de girlpower.

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Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 00:00

Publié dans : débats d'idées et de société

 

A propos des histoires d'hommes violés par des femmes

par LUCIUS

 

Cette histoire de "viol" par une fille (un homme séquestré et violé, article paru sur le blog le 7 janvier dernier) est trop belle - pour un masochiste - pour être vraie ! Si elle a certainement un fondement de réalité (puisque la victime a porté plainte, mais on ne connaît pas la suite donnée à cette affaire), le journaliste a dû "broder", quoique certaines des histoires rapportées par des journaux soient "réelles" (par exemple, le cas d'hommes étouffés à la suite d'un face-sitting trop accentué). 

 

 

             Cette histoire de « viol » nous a été racontée à maintes reprises en plusieurs endroits :

  • par LH Art, comme indiqué dans l'article 'un homme séquestré et violé"

  • par Diana the Valkyrie : "It takes a thief", "The San Francisco gangbang"

  • par des revues dans le genre d' »Union » comme "Je suis une Violeuse"

     

Mais ce qu'il y a d'inédit  dans cette histoire russe (apparemment véridique, tandis que les autres histoires sont de véracité douteuse) c'est cette apparition du viagra ! A vrai dire, ne l'ayant jamais utilisé - trop dangereux compte tenu mon état de santé  - je me demande si cela provoque une érection incontrôlable et, parfois, sans rapport avec la pulsion sexuelle ? Toutefois, il paraît que le procédé avec une piqûre dans la verge provoque automatiquement une érection que l'on ne peut plus contrôler par la suite... 

Car,le "hic" dans cette histoire russe, c'est qu'il apparaît que la "victime" n'a pas apprécié et que, donc, il n'avait pas éprouvé de plaisir sexuel particulier, son pénis érigé grâce au viagra, ne servant plus que comme un "gode" perfectionné !

Cela me chiffonne et je préfère la position de "Je suis une Violeuse" où il est dit que, tantôt, la victime apprécie, tantôt non. Une autre histoire que tu as publié, mais contre mon avis, retraçait un "viol" que l'homme n'avait pas du tout apprécié. Ma préférence va aux histoires que je t'avais communiquées comme "Dressé par une méchante Femelle", "Je prends les Hommes à la hussarde" etc ........ (sélectionnées par P. SAMUEL). 

 

 Olga Zajac                Quoi qu'il en soit, la fille est tellement belle sur les photos du journal que l'on peut passer là-dessus et n'être que profondément ému par cette manifestation de cette supériorité PHYSIQUE féminine qui aboutit à obtenir un "esclave sexuel". C'est le rêve de tout "masochiste", du moins tant que cela reste du domaine du "FANTASME".

Car si l'on revient à la "réalité", même les exploits des Amazones qui "massacrent" des "mâles" (dans des circonstances particulièrement cruelles, comme celles du DAHOMEY) n'ont rien de vraiment "excitants" en eux-mêmes !. Et pourtant, cela rejoint mes fantasmes "sanglants" (que Raoul me dit aussi avoir en toile de fond).

Il y a d'ailleurs une histoire sur le site de Diana qui s'appelle " Are you sure it is a game ?" - qui illustre bien ce point de vue (ainsi que l'histoire "The SanFrancisco gangbang" - Librairie de Diana). 

 



______________

 

ericstantondan Note d'Aristote : les objections de notre ami Lucius me semblent très intéressantes et j'ai donc pensé à publier un sondage ci-dessous.


La question centrale, c'est celle de savoir si le plaisir de l'homme doit nécessairement  intervenir, ou pas nécessairement, dans les histoires qui sont publiées sur ce blog.


Le combat entre un homme et une femme, oui, mais à condition que les deux y prennent du plaisir ? Si un homme est sexuellement abusé par la femme et n'éprouve aucun plaisir alors quel intérêt d'en parler ici ? 

 






 

eric stantoon 009-36






                  Commentaire de Lucius et d'Aristote au sondage (8/02).


Aristote
"La question centrale, c'est celle de savoir si le plaisir de l'homme doit nécessairement intervenir ou pas dans les histoires publiées sur ce blog.

                    Le combat entre un homme et une  femme , oui, mais à condition que les deux y prennent du plaisir ? Si un homme est sexuellement abusé par une femme et n'éprouve aucun plaisir , alors quel est l'intérêt d'en parler ici ? "
 Lucius Cela m'a quelque peu étonné de ta part. Car ce que tu dis et que j'ai mis en "italique" est exactement ce que j'aurais écrit - bien que nous ne sommes pas toujours d'accord, apparemment, nous le sommes dans ce cas particulier.
Aristote : Non, nous ne sommes pas d'accord, j'ai simplement voulu résumer ta position, comme un avocat qui défend une thèse à laquelle il ne croit pas vraiment mais qui convient d'être résumée en toute clarté.
Lucius :       Toutefois, je modulerais cette prise de position en disant qu'un tel combat est encore valable si un seul des deux participants y prend du plaisir. Et qu'en plus,il faut rester dans le domaine du "fantasme" et s'écarter de la réalité - qui, sur ce plan, est hautement condamnable -, encore que, dans le cas d'un Viol (perpétré soit par un homme, soit par une femme), il y ait un élément érotique (mais qui ressort de la perversion). Dans un cas comme celui du journal russe ou, même, dans le cas d'un viol ordinaire, la personne qui commet le viol et supposée en ressentir une satisfaction érotique (et aussi, parfois, la victime, même si c'est contre son gré). Dans le cas du viol commis par une femme, il faut que l'homme "bande", ce qui est problématique (toujours dans la réalité).
Finalement, j'apprécie beaucoup l'attitude de l'héroïne de "Je suis une Violeuse" qui arrive à marier fantasme et réalité. Également, l'histoire en anglais que je t'avais communiquée "Who are  the people in your neighbourhoood ?" (que tu avais traduite sur le blog). De toute façon, ces  histoires de viol ne nous intéressent que quand ce viol résulte d'un combat être homme et femme - combat dont la femme sort victorieuse ! Notons toutefois que, pour un "masochiste", celui-ci aurait tendance à se laisser faire.
                  Tout ceci pour dire que je suis très surpris, sinon "épaté" par les résultats du sondage (à moins qu'il n'ait pas été bien compris bien que la question ait été clairement posée), résultat qui devrait, à mon avis, être l'inverse.
                  Ou alors, les participants ont voulu éliminer ma dernière hypothèse suggérant que l'homme se laisse faire  - pour que la victoire féminine soit indiscutable.

amazonesbis.jpg Aristote : Je ne pense pas, je crois plutôt qu'une majorité d'entre nous aimons ressentir de la peur face à la violence - ou à la sexualité débordante - d'une femme dominant un homme, même si cela se passe finalement mal pour le mâle dominé. Nous n'éprouvons pas que du désir pour les Amazones, mais aussi de la peur et de la fascination.
Lucius : On en revient à ces histoires d'Amazones sanglantes dont les "masochistes" raffolent (à condition qu'il y ait un élément sexuel en fin de compte) - c'est  l'essentiel de ma "théorie" (voir aussi Paul ADOUY qui se contente d'être "spectateur" sans négliger l'impact sexuel).
Aristote : Je ne vois pas où est l'élément sexuel dans la couverture de BD ci-contre, pourtant je pense que nombre de mes lecteurs aiment ce genre de récits (et les préfèrent à d'autres, bien plus nombreux, où les guerriers sanguinaires sont des hommes), même si les Amazones y jouent le rôle de "méchantes" et sont donc vaincues à la fin pour que tout rentre dans l'ordre. C'est la constante de toutes les histoires tirées de la mythologie ou de l'Histoire réelle (cas de celles du Dahomey), et logiquement c'est aussi le cas des BD. Si les bon(nes) ne triomphent pas des méchant(e)s, ce n'est pas un ouvrage correct, c'est immoral... En l'occurrence, les Amazones remettant en cause l'ordre patriarcal sont des méchantes, surtout si elles sont ultra-violentes et sanguinaires. Mais nous aimons quand même la peur qu'elles inspirent.
Lucius :  Eh bien, moi je prétends que cette fascination est d'ordre "sexuel", car, dans ce dessin, ce que je lui reproche c'est de ne pas avoir un impact plus nettement érotique (ne serait-ce que par l'habillement des acteurs). Encore une fois, on ne peut mélanger "fantasme" et "réalité". Sauf dans "votre" cas oil y a une réelle "lutte mixte" (toi, Eragon, CRJ57 et quelques autres), mais, finalement, cela  ne se termine-t-il pas par un impact "sexuel" ?

 

                     Ci-joint, deux dessins correspondant plus à mon "fantasme" (quoiqu'ils ne me satisfassent pas complètement, en raison du physique des acteurs). Car, après le combat, il y a des prisonniers qui servent d'esclaves sexuels (tout au  moins, pour certains). Cela correspond à  mon fantasme que l'on peut réaliser dans la réalité par "un jeu de rôles" - qui peut devenir plus ou moins "vrai" par une manifestation de supériorité physique féminine dans bien des cas (comme celui de la lutte mixte telle que vous la patiquez). 

Rapt
Prisoniers  
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 10:44

Publié dans : débats d'idées et de société

 

2h1f0  


Changement d'époque....

 

2h1f1

2h1f2

 

 

2h1f3

Je remercie Raoul Fulgurex de m'avoir signalé cette superbe vidéo de dailymotion.
 
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Dimanche 29 janvier 7 29 /01 /Jan 20:39

Publié dans : récits illustrés

 

Cette histoire d'homme battu m'a été inspirée par une vidéo dont le titre - "slapped" (qui signifie "giflé") dit tout. La vidéo n'est restée que quelques jours sur youtube. J'en ai extrait les photos qui suivent pour composer un court récit.

 

noir1

noir2

noir3

 

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Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 16:35

Publié dans : débats d'idées et de société

 

par Raoul Fulgurex

 

 

Q : Que va-t-il m’arriver si je me fais étrangler ?

 

Ça dépend ! La première chose à savoir qu’il existe plusieurs types d’étranglement, selon l’endroit où la pression est exercée.

 

1) Certains étranglements sont « juste » douloureux, en faisant pression sur la pomme d’Adam, le coin de la mâchoire, ou les tendons. Pour mon goût ce ne sont pas les plus agréables, et ce sont souvent des étranglements un peu imprécis, considérés comme ratés par les spécialistes d’arts martiaux. En effet, selon la résistance de la victime elle peut abandonner immédiatement ou résister longtemps en serrant les dents.

 

2) Ensuite il y a ce à quoi pensent la plupart des gens quand on parle d’étranglement : le blocage de la respiration. Celui-ci peut s’obtenir par pression directe sur la trachée, ce qui est un peu dangereux (voir plus loin), ou par une pression plus globale au niveau du haut et de l’avant du cou, qui bloque la trachée de la victime avec sa propre langue (sans douleur, sans danger et plus efficace, généralement accompagné d’un étranglement sanguin partiel ou complet).

 

3) Mais l’étranglement le plus courant et le plus radical est l’étranglement sanguin, qui laisse la victime respirer mais qui fait pression sur les artères et les veines qui connectent le cerveau au système sanguin. Là encore il y a deux variantes : lorsque l’étranglement est superficiel c’est principalement les veines qui sont bloquées, la victime devient rouge-violette, des vaisseaux sanguins éclatent, cela fait mal partout dans la tête, les yeux deviennent injectés de sang. Mais cela peut durer un moment si la victime est très résistante. Par contre, lorsque l’étranglement sanguin fait suffisamment pression sur les carotides, c’est absolument radical, les premiers signes de perte de conscience peuvent survenir en moins de 5 secondes, et la perte de conscience en moins de 10 secondes. Donc ne payez pas pour voir et faites immédiatement tap-tap !

 

PHOTO 8

 

Q : Ca fait mal, docteur ?

 

photo9 Oui, souvent, mais rarement de façon insupportable ! Si vous n’êtes pas maso pour un sou, peut-être va-t-il falloir demander à votre copine de se contenter de vous serrer les bras et les jambes, le buste si vous êtes nettement plus fort qu’elle, ou alors tout simplement qu’elle retienne sa force. Après tout, elle n’a pas du tout besoin de serrer fort pour vous emprisonner. Un jeu érotique particulièrement dominant est celui où elle vous tient dans son ciseau sans vraiment serrer, mais où elle serre dès que vous faites mine d’essayer de vous échapper ou de changer de position.

 

PHOTO 10 Si par contre vous êtes au moins un peu maso, les possibilités sont infinies de souffrir entre les jambes de votre belle. Et le jeu précédemment cité marche aussi très bien quand votre copine vous punit sévèrement de toute tentative d’évasion par un ciseau douloureux et prolongé !

 

PHOTO 11

 

Q : Qu’est-ce que je risque ?

 

Attention, je ne suis pas docteur et je dois me contenter de quelques informations glanées sur Internet, qui sont donc à prendre avec un grain de sel !

 

Quand on parle de risques graves, on pense d’abord aux étranglements sanguins. Pourtant, entre deux adultes responsables et bien informés, les risques sont quasi nuls. Les accidents surviennent invariablement dans les pratiques auto-érotiques, lorsqu’une personne seule perd connaissance dans une position où le lien autour de son cou ne se desserre pas (David Carradine est la dernière victime célèbre en date de ces pratiques). Les étranglements sanguins sont pratiqués par exemple en judo, il y a régulièrement des évanouissements lorsqu’un compétiteur borné refuse d’abandonner, et les accidents graves n’existent pour ainsi dire pas.

 

Pour certaines personnes à fort risque circulatoire (âge élevé, cholestérol élevé, épisode d’accident vasculaire cérébral, infarctus récent, arythmie sévère), il faut toutefois mentionner un risque bien connu des infirmières ayant appris le massage du sinus carotidien : si un caillot s’est formé dans l’artère carotide, l’étranglement peut libérer ce caillot, qui peut aller bloquer une artère du cerveau et entraîner la mort. Il faut toutefois souligner que ces caillots sont de véritables bombes à retardement et peuvent très bien se détacher sur un simple tournement de tête. Si d’aventure vous aviez un tel caillot, le seul bon conseil serait de passer tout de suite sur la table d’opération.

 

Pour leur part, les étranglements respiratoires avec pression directe sur la trachée ne sont pas considérés comme sûrs à 100%. La trachée peut subir de petites lésions (qui peuvent favoriser une infection ORL), et dans des cas extrêmes, la trachée fortement écrasée peut subir un collapsus et refuser de se rouvrir complètement – il faut quand même dire que cette pathologie concerne essentiellement les petits chiens et est exceptionnelle chez les humains. Cette variété d’étranglement est autorisée dans certains sports de combats, mais pas dans d’autres.

 

Pour ce qui est du ciseau de corps sur le ventre, il est conseillé d’abandonner lorsque vous n’avez plus la force de tenir vos abdominaux. Tant que les abdos tiennent vos organes vitaux sont en sécurité, mais sans les muscles, ceux-ci pourraient être écrasés pour de bon et cela pourrait les endommager, et probablement aussi causer des hernies.

 

Les autres blessures possibles sont moins graves, mais potentiellement embêtantes, surtout lorsqu’il faudra les expliquer à un docteur ! Mâchoire ou dent cassée, côte fêlée ou cassée, torticolis, à vous de voir avec quels risques vous pouvez vivre… mais de façon générale, il faut savoir qu’à moins que votre copine soit une brute épaisse, vous prenez le 99% des risques lorsque vous poussez votre corps à ses extrêmes limites en refusant d’abandonner alors que tous vos voyants sont au rouge. Je vous encourage donc à ne jamais pratiquer de ciseaux sous l’influence de substances euphorisantes, et à garder la tête froide même dans les circonstances les plus chaudes !

 

Q : Comment rendre un ciseau le plus efficace possible ?

 

Il y a beaucoup de détails qui augmentent ou diminuent l’effet d’un ciseau, donc de façon générale les ciseaux bien ajustés où les deux partenaires se mettent soigneusement en position seront beaucoup plus efficaces que les ciseaux spontanés portés "comme on peut" au cours d’une lutte ou à la va-vite pour profiter de l’effet de surprise.

 

La première chose à connaître est l’effet levier, qui fait que la force est plus grande à mesure qu’on se rapproche de l’articulation de serrage. Pensez à l’outil de bureau appelé également ciseau : on coupe très facilement près de son articulation, et beaucoup plus difficilement en bout de lame. Dans le ciseau qui nous intéresse, le ciseau de jambes, l’articulation de serrage est l’endroit ou se rejoignent naturellement deux segments du corps : pour tous les ciseaux il y a une articulation de serrage au niveau de l’aine, mais pour un ciseau triangulaire, il y a également une deuxième articulation de serrage au niveau du genou. Plus vous êtes près de l’articulation, plus ça va serrer fort !

 

Pour le ciseau de cou, il faut savoir également que les parties vulnérables du cou (carotides et trachée) se trouvent à l’avant de celui-ci, c’est par conséquent de ce côté qu’il est recommandé de concentrer la pression, et donc de placer l’articulation de serrage.

 

PHOTO 12

 

Donc pour le ciseau classique la base est donc de placer la victime le plus près possible du sexe de la fille – vous pouvez insistez ici sur le fait que vous parlez ici d’un point de vue purement technique ! Ensuite, un petit effet supplémentaire s’obtient en se cambrant, éventuellement en prenant appui sur ses mains, pour que la fille utilise au mieux ses fessiers. Finalement, durcir les adducteurs fera une différence, mais à condition qu’ils appuient sur des parties vulnérables.

 

photo13 Pour le ciseau triangulaire, il faut avant tout minimiser les espaces libres autour de la victime, afin que la pression s’exerce sur tout le tour. Cela fait toute la différence et peut permettre d’obtenir des soumissions avec un minimum de force. Cela s’obtient en enveloppant bien soigneusement la victime,– particulièrement au niveau de l’aine ou du genou, où le plus de force s’appliquera. Ceci doit se faire avant de fermer la prise, car après ce sera trop tard pour se replacer. Ensuite, la fille peut encore augmenter la force en tirant sur son pied libre avec le bras, ou en prenant appui de ce pied libre sur le sol.

 

photo14 Plus technique, il existe des ciseaux triangulaires de cou où l’espace libre est rempli par un des bras de la victime passant devant son cou et faisant pression sur sa propre carotide (attention, ça ne marche pas avec deux bras !).

 

Q : Ciseau, ciseau, ciseau, n’est-ce pas toujours pareil au bout d’un moment ?

 

Oh que non ! Après avoir expérimenté de multiples ciseaux, je reste toujours étonné de voir à quel point chaque ciseau est une surprise. Le côté génial de cette prise est que quelques centimètres plus haut, plus bas, ou quelques degrés de rotation procurent souvent des sensations complètement différentes. Chaque séance est une redécouverte, et je suis encore bien loin d’avoir fait le tour de la question.

 

Q : Est-ce que dans la réalité les ciseaux seront aussi agréable que je les ai fantasmés ?

 

Question délicate car je ne peux parler que de mon expérience. J’ai énormément fantasmé sur les ciseaux avant d’avoir la chance de les subir, et je m’étais alors souvent posé cette question. La réponse est que les ciseaux ont été plus puissants et plus agréables que je ne les avais fantasmés. Si vous n’avez jamais été victime d’un ciseau et que vous avez l’occasion de l’être, le principal à retenir de cet article est : restez prudent, mais allez-y !

 

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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 14:30

Publié dans : débats d'idées et de société

 

par Raoul Fulgurex

 

 

Les femmes ont une force herculéenne pour serrer les genoux (Louis Teissier du Cros, "L'amour, les femmes et nous")

 

Le présent article présente le ciseau de jambes, qui est une technique de lutte simple et efficace consistant à serrer l’adversaire entre ses jambes. Il s’adresse primairement aux hommes ayant l’envie et la possibilité de se faire dominer par leur copine de cette manière-là, mais qui ne l’ont pas encore ou peu expérimentée. Pour autant, certains des plus capés y trouveront peut-être aussi de quoi parfaire leur culture ciseaulogique ; d’autre part, presque tout ce qui s’y dit s’applique également aux autres configurations de couple : homme dominant la femme, homme dominant un autre homme, et pourquoi pas, femme dominant une femme - mais faute de connaissances je ne parlerai pas plus des ciseaux réciproques très spéciaux que seules les homosexuelles ont la chance de pouvoir expérimenter…

 

Q : Pourquoi les ciseaux ?

 

Il faut vous faire un dessin ? Soit. photo1b

Et d’une, le mâle moyen présente une curieuse attirance pour l’intérieur des cuisses des femmes. Sans doute la proximité du coffre au trésor n’y est-elle pas complètement étrangère… Voilà sans doute pourquoi même les hommes sans penchants masochistes particuliers ne restent pas toujours insensibles au ciseau, qu’on retrouve souvent dans le cinéma d’action pour épicer des scènes de lutte mixte d’un peu de tension sexuelle (si besoin était).

 

Et de deux, les cuisses sont la partie la plus puissante du corps, surtout en ce qui concerne une femme qui - à moins qu’elle ne soit culturiste - aura plus de mal à vous dominer en force avec ses bras. En particulier, le quadriceps, situé à l’avant de la cuisse et permettant de tendre la jambe, est le plus gros muscle du corps humain, essentiel pour la marche. Donc si votre copine n’est pas un poids-plume, elle aura développé ses muscles rien qu’en marchant, et la force avec laquelle elle pourra serrer les jambes risque de vous impressionner !

 

Et de trois, votre copine garde les deux mains libres, ce qui lui permet au choix de lire pour ne pas s’ennuyer pendant que vous agonisez (sympa la copine), de vous porter une deuxième clé ou de vous frapper avec ses mains (super sympa je vous dis), ou de faire des choses réellement très sympa pour vous à votre corps défendant (là je sens que je commence à vous intéresser…)

 

 

Q : Que peut-on serrer dans un ciseau ?


photo2b Un peu de tout, mais avec des effets forts différents. Un bras ou une jambe, c’est généralement plutôt pour le fun ou pour vous contrôler dans une phase de lutte, mais vous verrez qu’il est déjà extrêmement difficile de se libérer.

 

Au niveau du ventre, c’est impressionnant et si vous n’êtes pas un malabar cela vous forcera à résister de toute la puissance de vos abdos, et si votre copine insiste il va vous falloir de l’endurance pour éviter d’avoir le souffle coupé ou la nausée. Sur les côtes flottantes ça peut faire vraiment mal. Sur la poitrine vous allez avoir quelques difficultés à respirer, mais vous devriez résister si votre copine n’est pas plus forte que vous.

 

Sur le visage c’est très dominant et assez puissant pour vous casser la mâchoire ou le nez si votre copine ne fait pas attention. Et finalement, pour ceux qui font vraiment confiance à leur copine, il y a le roi de tous les ciseaux, le ciseau de cou, et là les sensations sont multiples, variées et extraordinairement fortes.

 

A noter que l’écrasement des parties génitales n’est pas mon truc, c’est pourquoi je ne dis pas grand’chose sur le sujet. De toute façon, le ciseau est peu précis et n’est probablement pas la manière idéale de se faire broyer les parties. Mais je suis sûr que certains ont essayé !

 

Q : Peut-on se sortir d’un ciseau ?

 

Ca dépend du ciseau… Dans tous les cas c’est difficile, et pour certains ciseaux c’est impossible à moins que vous soyez un hercule de foire, que votre copine soit particulièrement menue, ou que vous vous autorisiez à la frapper (bouuuuuh !) D’autre part, peut-être n’avez-vous pas envie de connaître la manière de sortir, afin que votre copine puisse vous emprisonner plus facilement. Si toutefois vous êtes curieux, voici les quelques conseils que je peux vous donner à ce sujet :

 

1) Ne pas laisser les espaces se refermer. Tout espace libre entre votre corps et les jambes de votre copine est un levier pour vous. Chercher à créer des nouveaux espaces jusqu’à ce que la force du ciseau ne soit plus suffisante pour vous retenir.

 

2) Chercher à prendre le dessus pour faire jouer la gravité en votre faveur.

 

3) Pour les ciseaux de corps, chercher à vous tourner pour présenter votre côté le plus large.

 

4) Si la position vous le permet, vous attaquer avec les mains, ou éventuellement les pieds, à l’endroit précis où les jambes de votre copine se referment (généralement les chevilles) pour les décroiser. C’est le seul endroit vraiment vulnérable.

 

Si ces quatre conseils ne marchent pas, c’est que vous êtes bel et bien prisonnier, et il ne vous reste plus qu’à résister, attendre que votre copine se fatigue, ou alors de lui demander bien gentiment de vous libérer !

 

Q : Ma copine a-t-elle la force de me soumettre par un ciseau ?

 

La chose est sûre, à moins que vous soyez un hercule de foire et que votre copine soit particulièrement menue. Si leur technique est parfaite (voir plus loin), certains ciseaux de cou sont indénouables et étranglent avec une énorme pression sur les carotides ou la trachée. Donc si vous survivez à tout, l’explication la plus probable est que la technique de votre copine est perfectible.

 

 

Q : Comment signaler que je n’en peux plus ?

 


photo3b Si la prise de votre copine vous fait mal, vous étouffe ou vous étrangle, il est très important que vous puissiez le lui communiquer immédiatement. Le signal de soumission le plus simple est un mot convenu comme "stop" (évitez "post-structuralisme") ; mais certains étranglements vous laisseront sans voix ! C’est pourquoi la manière universelle de signaler sa soumission est de tapoter une ou deux fois de la main sur le corps de votre copine, ou alors sur le matelas (mais c’est à la fois moins clair et moins sexy).

 

photo4b


 

Maintenant, si elle est experte au point de vous emprisonner les deux bras en même temps qu’elle vous fait son ciseau, ou que vous êtes amateur de bondage, il se peut que ni votre voix, ni vos mains ne soient disponibles. Dans ce cas il vous reste la possibilité de « taper » avec une jambe. Si toutefois vous craignez de ne pas pouvoir faire un signal clair, essayez immédiatement de communiquer de toutes les manières possibles et n’attendez pas le dernier moment !

 

D’une façon générale, restez très à l’écoute de vos sensations. A moins que vous pratiquiez d’un commun accord des jeux plus extrêmes que je déconseille, c’est votre responsabilité à vous d’abandonner avant de tomber dans les vapes. Sinon, imaginez la panique pour votre copine, et son peu d’envie de recommencer en se disant qu’elle est responsable de votre vie.

 

Q : Comment effectuer un ciseau ?

 

Essentiellement de trois manières.

 

photo5b

 

1 ) La plus courante et la plus naturelle est le ciseau classique jambes parallèles. Outre sa simplicité, son attrait est que c’est le ciseau qui serre le plus fort ; ce n’est toutefois pas forcément toujours le plus efficace. Il est absolument essentiel que la fille croise ses chevilles, et fortement recommandé qu’elle tende ses jambes (ce qui ferme automatiquement l’espace entre ses cuisses). Ainsi la fille peut utiliser beaucoup de groupes musculaires, autrement dit serrer très fort !

 


photo6b

 

2 ) Une variante du ciseau classique où les chevilles n’ont pas besoin d’être croisées car la fille a un appui pour ses pieds ; une paroi peut fonctionner mais généralement la fille est debout. L’appui sur le sol permet là aussi de générer de la force depuis les pieds, et c’est moins fatigant pour ses chevilles. Les positions sont généralement plus spectaculaires et humiliantes, par contre l’équilibre est fort précaire si la victime bouge. Contrairement à la photo ci-dessus où la victime est très coopérative, la fille devrait s’appuyer d’au moins une main contre un mur, et se tenir prête à tomber souplement et croiser les chevilles pour passer à un ciseau classique.

 

photo7b


3 ) Le plus technique, mais très apprécié ciseau triangulaire. La fille cale un de ses pieds sous son genou opposé, créant une petite prison en forme de triangle, dont les trois côtés sont ses deux cuisses et l’un de ses mollets. Dans cette position la puissance développée est moindre, par contre la prise est à peu près impossible à défaire - si on tire dessus, le pied de la fille reste coincé sous son genou, et même elle se retrouve incapable de défaire la prise ! D’autre part la prise est plus sensuelle car plus englobante, et quand elle est portée au cou elle fait pression sur une plus grande partie du tour de cou. Ensuite, selon l’orientation et le positionnement, un ciseau triangulaire peut être une mortelle constriction ou un tendre serrage.

 

Q : N’est-ce pas éprouvant pour la fille ?

 

Bien sûr que c’est fatigant au bout d’un moment de serrer les jambes… maintenant, il n’y a pas besoin d’être sportive d’élite ! Si la technique est bonne, votre copine n’aura pas besoin de bourriner, et vous abandonnerez plus vite, tout bénéf pour elle. Les seules parties de son corps vraiment mises à rude épreuve seront les avants de ses chevilles, qui resteront plus longtemps en extension qu’il n’est confortable.

 

Q : La fille peut-elle y prendre son pied ?

 

C’est ce que prétendent certaines professionnelles, mais il n’est jamais très clair que ce soit plus qu’un argument publicitaire. Il peut difficilement être totalement indifférent pour une femme de serrer quelque chose entre ses cuisses, surtout si elle aime dominer. Maintenant il ne faut pas non plus se raconter des histoires, et votre copine n’aura certainement pas un orgasme juste en vous serrant entre ses jambes. Inversément, rien ne vous empêche de lui suggérer de se lâcher en serrant très fort les jambes au moment de son orgasme (avec ou sans vous au milieu…), on ne sait jamais, elle pourrait y prendre goût !

 

Une idée plus réaliste est de combiner le ciseau avec un cunnilingus. C’est tout à fait possible et fort excitant, mais il doit être clair qu’il faudra alterner les moments de serrage avec votre activité linguale. Par ailleurs, même ainsi il va vous falloir une mâchoire solide ! Si votre copine est dominatrice dans l’âme, on peut imaginer un petit jeu pendant cette activité : elle devra juger de votre performance et vous serrer dès que vous faites montre de relâchement ou d’imprécision.

 

Q : Comment se préparer ?

 

Si vous pratiquez les ciseaux de cou ou de tête, le plus important est de bien vous raser ! Il est peu probable que votre copine apprécie lorsque plus elle serre, plus vos poils de votre barbe rentrent dans la peau satinée de son entrecuisse.

 

Si des ciseaux sont prévus sur le corps, même si c’est sur la poitrine, je vous conseille d’éviter de manger lourd au repas précédent, ainsi que de manger ou boire juste avant. Laissez le temps de descendre pour éviter des remontées désagréables !

 

Par ailleurs, il y a une composante sportive à une séance de ciseaux, donc il peut être utile à vous de faire quelques mouvements de nuque (qui est très sollicitée dans les ciseau de cou et sera de toute manière un peu raide le lendemain), et à votre copine de chauffer ses chevilles, ou alors de commencer en douceur.

 

 

(A suivre. Dans une deuxième partie, Raoul Fulgurex abordera une question capitale : celle de la sécurité. Attention à ne pas tomber dans les pommes...)

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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 22:08

Publié dans : récits illustrés

 

Ce récit illustré est dédié à Amphitryon. Il fut mon premier correspondant, le premier de mes lecteurs avec lequel j'ai engagé de longs dialogues où nous comparions nos situations et goûts respectifs (cf. colonne de droite).

Depuis deux ans je suis sans nouvelle d'Amphitryon. Sa redoutable épouse lui aurait-elle intimé l'ordre de ne plus fréquenter le blog du vieil Aristote ? c'est bien possible, il me donnait l'impression de lui être pleinement soumis.

Si je dédie le présent article à Amphitryon, c'est parce qu'il avait plusieurs fois insisté sur le fait que les danseuses ont une grande force physique, notamment dans l'entre-jambes, et que cela ne doit pas être sous-estimé. 



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Voilà qui achève ce récit dédié à Amphitryon. Les photos sont tirées d'un clip resté en ligne sur youtube quelque temps, puis supprimé. En voici un autre avec la même fille aux jambes d'acier :

 


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Samedi 14 janvier 6 14 /01 /Jan 17:22

 

Lucius:  Tout dépend comment l'on conçoit l'Evolution ! Si l'on se borne à une conception purement "matérialiste" et à une  adaptation à l'environnement, alors, oui, l'expérience des Dinosaures n'est pas un "raté" (mais il y a plein d'autres exemples de ce type dans la "nature"). Maintenant, si l'on se place sur sur un point quasi-religieux, comme le fait Bergson, et que l'on considère que l'évolution aboutit au genre humain - avec l'apparition de la "pensée" et de la "raison" - même sans adopter les thèses bergsoniennes, on peut considérer que toutes les autres initiatives ont été des "ratés", en s'engageant sur des impasses. A remarquer qu'apparemment, pour le moment, le "genre humain" ne brille pas par son adaptation aux conditions existantes - en détruisant son environnement et lui-même et en croissant sans frein. Problème qui devient "philosophique"; Car on ne conçoit pas l'homme sans les autres espèces (végétales et animales). Argument des thèses "fixistes" se limitant à la Bible.     
 Raoul : Alors si c'est à un point de vue quasi-religieux, je suis obligé de le respecter même si je ne le partage pas. Bien sûr, en pareil cas c'est une tautologie de considérer l'homme comme une réussite et les branches qui n'y ont pas mené comme des échecs. Pour ma part je souscris à une version plus modeste qui est que la complexité du monde a largement augmenté avec l'apparition de l'homme et de sa culture. Il faut savoir que cette vue est déjà une hérésie pour pas mal de scientifiques. Il est en effet difficile de trouver une mesure de complexité qui ne soit pas complètement ad hoc (c'est-à-dire construite exprès pour faire gagner l'espèce humaine), et qui donne autant de poids au espèces "évoluées" qu'à l'immense biomasse des unicellulaires. Je pense toutefois que cela est possible. Quant à considérer l'homme comme l'aboutissement inévitable de l'évolution, je pense toutefois que c'est un peu chauvin et que cela sous-estime largement la place du hasard. 
Lucius : Je ne crois pas que je me sentirais "humilié" si j'étais battu par un type ou une femme du genre "rugbyman" ou "super sportive" ! Mais, je ressentirai ce sentiment d'humiliation si mon adversaire féminin était d'une stature comparable à la mienne (plus ou moins) et pas une sportive de haut niveau ou très experte en arts martiaux.
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Raoul Je relève le défi : voici Afrika en action sur la photo, elle est un véritable paquet de muscles autant qu'une experte en soumissions. Cela signifie-t-il qu'il ne serait pas humiliant de se retrouver ainsi crucifié dans une position à se faire briser la nuque, et de devoir demander grâce devant, disons une dizaine de spectateurs ou de spectatrices ? Bien sûr je force un peu le trait ! Pour ma part, même sans les spectateurs je me sentirais complètement (et délicieusement) humilié.
Lucius :   Maintenant, pour le Bondage, je l'apprécie beaucoup, mais toujours à condition qu'il soit imposé par la "force" (ou, tout au moins, de l'imaginer). Dans mon fantasme, j'imagine un bondage plutôt simple, comme, par exemple, d'avoir une seule main et un seul pied entravés - et ce pour permettre à la victime de pouvoir bouger et tenter d'opposer une certaine résistance et à se "tortiller" ! Je n'aime pas trop quand le bondage devient trop compliqué.  
stan 014-2-19 Raoul : Je préfère aussi quand ce n'est pas compliqué au point de poireauter 10 minutes en attendant que l'attacheuse parachève son œuvre d'art. Par contre, j'accepte facilement de ménager une petite minute de collaboration pour me faire attacher avant de lutter. Après cela je ne collabore plus du tout, même si les liens sont très restrictifs je trouve excitant de me battre contre avec toute l'énergie possible. Ou de subir des soumissions par dix à la douzaine car je suis sans défense. En fait dans mon adolescence la plupart de mes fantasmes incluaient du bondage, car je ne croyais pas vraiment qu'une fille puisse me battre sans cela. Si j'ai bien changé d'avis sur ce dernier point de vue, le bondage reste un grand fantasme pour moi, et des cordes bien placées peuvent être un excellent substitut à un contact plus charnel. Avant de rencontrer ma femme je voyais le bondage aussi comme le moyen idéal de me faire dominer par une épouse charmante mais pas forte. Qui plus est, je trouve aussi humiliant d'être battu par des cordes que par une femme ! En fait je ne vois que des avantages au bondage... encore faut-il l'apprécier ! 
Lucius:   Curieux, car, pour moi, je considère la nudité totale comme un "nec plus ultra", mais pas au début d'une lutte. Non, mais une tenue comme tu dis - au début -, pluis une sorte de "strip-tease" graduel pour ménager un certain suspense. Avec  une totale nudité, à la fin, suivi d'actes sexuels.     "Une vidéo de LEDA - la FD-196 - avait retenu mon attention, bien que déficiente au point de vue "lutte proprement dite".  Car cette vidéo nécessiterait de profonds changements. Mais, l'idée de départ était intéressante. C'est d'ailleurs la seule vidéo de LEDA, je crois, où l'on voit une scène carrément "porno" (mais que je considère comme différente du "porno" classique). Scène de "viol" bien détaillée ! Et il y avait un semblant de Scénario.
 Bref, dans cette vidéo, l'on voyait le héros (DAVID, un acteur assez passable) ne voulant pas faire l'amour avec une fille (pourtant pas laide du tout et en négligé). Pour quelle raison ? C'est l'une des faiblesses de l'histoire (mais il vaut mieux ne pàs chercher à approfondir). Quoiqu'il en soit, cette fille, accompagnée de deux grosses filles - bien baraquées, mais, malheureusement complétement habillées - invite David à lui rendre hommage. Ce dernier, étant réticent et refusant ses avances, les deux autres filles entrent en action et c'est là qu'il y une (trop) brève séance de lutte,  pas convaincante - loin d'une lutte paraissant réelle. David, rapidement maîtrisé est déshabillé (gardant toutefois son tee-shirt, encore une faiblesse du film, puis, maltraité et "fessé" (une des constantes des Films de LEDA). Malgré cela, il est toujours réticent. Il est alors re-fessé, puis, pour finir, renversé sur le lit, une des filles le maintenant renversé sur le lit avec son genou l'immobilisant, pendant que l'autre l'attache aux 4 coins du lit. Alors, la troisiéme fille, assistant à l'action, peut rentrer dans le jeu et se met à "violer" David dans une scène, assez longue, mais vraiment "porno", commençant par une fellation pour durcir le membre flaccide de David (au début), puis le "baisant" (après lui avoir mis une capote !) dans les deux positions dominantes - une étant au dessus de lui dans la position normale, l'autre en se retournant. On voit nettement son mouvement de va-et-vient et le pénis de David apparaissant, puis disparaissant lors de cette action. Vers la fin le rythme s'accélère et la fille arrive à la conclusion, son visage reflétant son extase - David, impuissant, se prêtant au jeu et gémissant. A l'extrême fin, comme un crescendo (que j'avais fort apprécié), on voit réappparaître les deux filles et l'une d'elles tapote les fesses de la "baiseuse" en ayant l'air de lui dire "Bravo, bien travaillé,  ma fille". Excellente fin .........   (pour moi, c'est ce que j'appelle un film semi-porno).         
stantoons054 Voici les modification que j'envisagerais. Tout d'abord, il n'y aurait qu'une seule "grosse" fille et qui serait en tenue "sexy" - presque demi-nue - et un combat plus étoffé (et bien fait) aurait eu lieu. Malgré sa défaite, le héros, David, serait toujours réticent. Suivrait alors un deuxième épisode de lutte, à la suite duquel, David, complètement nu, serait jeté, à demi-conscient, sur le lit et la "grosse" fille, le chevauchant l'attacherait à deux coins du lit - une main et le pied opposé (pour lui laisser la possibilité de tenter une défense désespérée et lui permettant de "gesticuler" -. A la suite de quoi, la deuxième fille entrerait en action et la scène de "viol" serait à peu près identique. Et, à la fin, la "grosse" fille aurait pu ajouter, après avoir tapoté les fesses de la "baiseuse" - "Et, maintenant, c'est mon tour !
Raoul: C'est drôle, la fille forte qui m'attache pour me livrer à la fille moins forte (me livrer à sa domination martiale s'entend, pas à son envie de pénis), c'était un de mes fantasmes récurrent d'adolescence. J'aime assez les deux scénarios, quand même assez alambiqués comme tu le soulignes, mais je trouve ta conclusion bien meilleure ! Pourquoi seule la fille qui ne fait rien aurait le droit d'en profiter ? Je comprends très bien ton attrait pour la nudité, en fait cela me semble plus naturel que mon attitude, mais on ne se refait pas.
Nous n'avions pas encore parlé de la lutte à deux femmes contre un homme. Pas assez humiliant ? Trop un fantasme de macho ? Pour ma part ce n'est pas un fantasme habituel mais c'en est un quand même. Se faire écraser par deux ciseaux de jambes en même temps, ou alors subir 4 prises d'un coup, chacune en portant une avec les bras et une avec les jambes, cela doit quand même être quelque chose ! (A suivre)
Les illustrationsont été choisies par Aristote (le Stantoon 54 est sans rapport avec la vidéo de LEDA dont parle Lucius)
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Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 21:27

Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)

 

Quand on pense à l'expression "baisers volés", on sous-entend généralement "volés par un garçon". C'est à cela qu'on pense en écoutant la chanson de Charles Trénet "Que reste-t-il de nos amours ?" ou qu'on regarde le film de Truffaut "Baisers volés" (1968) qui reprend cette chanson en générique.


Quand j'ai écrit il y a quelques jours mes voeux pour 2012 : "Des coups, oui, mais n'oubliez pas les baisers !" je pensais à des baisers "accordés" par la femme, ou à celui que Mysteria semble coller d'autorité à sa faible victime, qui me plait beaucoup mais qu'on ne voit pas souvent.


Et si les baisers sont volés en série par la fille dans le cadre d'une lutte mixte où elle harcèle le mec ? et s'ils sont pris de force ? Alors on est dans une sorte de "viol soft" de l'homme par la femme et il faut dire que j'adore cette idée.

Cette idée est pour moi plus excitante - et en tout cas bien moins perverse - que celle de l'homme battu, séquestré et violé par une femme.


Cette idée de scénario est remarquablement mise en oeuvre dans le film que voici, "Trinity forces a man".


J'ADORE ce film mis en ligne sur la chaîne secretwrestlingfiles le 8 janvier 2012 (et recommande de jeter un coup d'oeil aux autres films sur la même chaîne). Mais c'est particulièrement cette vidéo qui est pour moi un chef d'oeuvre parce qu'elle illustre mieux que tout ce que j'ai vu jusqu'ici ma conception d'un homme forcé par une femme.

On pourrait évidemment l'imaginer en "plus hard", avec prises de sexe, mais pour moi ce film de 12 minutes est très bien comme ça. Trinity est une excellente actrice dans le rôle de la lutteuse amoureuse de son mec plus faible qu'elle.


Au cas où un censeur de youtube hostile au harcèlement féminin (ou aux baisers ! trop sexuels, j'imagine...) viendrait à le supprimer, j'ai enregistré une copie et j'ai aussi extrait pas mal de photos fixes, suffisamment de quoi faire plus tard une histoire à épisodes, et je mettrai des dialogues ou commentaires de mon cru comme j'ai coutume de le faire.

Après une première suppression pour "contenu sexuel", il a été remis en ligne le 28 janvier, puis à nouveau supprimé.

 

Le film a été produit par mixedwrestlingplanet.


On peut l'acheter et le télécharger ici : Just Want To Have Some Fun


Il existe d'autres films avec Trinity, par exemple on trouve sur youtube celui-ci de lutte mixte compétitive où elle fait montre d'un très bon niveau.

 

 

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Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 15:10

Publié dans : débats d'idées et de société

 

L'histoire suivante est parue dans la presse récemment :

Olga Zajac1


J'en ai été informé par CRJ57, qui m'a renvoyé au blog de Xana, où l'on trouve l'article suivant en date du 4 janvier 2012 :

 

Olga Zajac

 


Remercions Xana de nous avoir transmis cette information. Posons-lui une question en passant : si un voleur s'en prend à elle, cette redoutable combattante qu'est Xana lui fera-t-elle subir le même sort ? Voilà qui pourrait faire fantasmer un lecteur de son blog, un viragophile amateur de sensations fortes !

En effet, cette histoire réelle me rappelle un récit de fiction, une story intitulée "Breaking and entry" ("Entrée par effraction"), parue chez LH-Art en 1997, dans la brochure FEMJOCKS #4, avec des dessins d'Alessandra. Or ce genre de brochure s'adresse aux viragophiles.

Résumé : un cambrioleur  armé d'un couteau s'introduit par effraction de nuit chez une demoiselle.  Il est accueilli comme il le mérite par cette championne "muscles et combats". qui le désarme et lui casse la figure. Considérant que son crime, s'il était condamné en justice, lui vaudrait trois ans de tôle, la "victime" décide de se faire justice elle-même, elle le séquestre pour une durée de trois ans et en fait son esclave sexuel.


L'histoire représente une vingtaine de pages dans une brochure de 40 pages (trois histoires, excellentes de bout en bout). Il semble qu'elle soit épuisée sous forme papier chez LH-Art, mais on peut sûrement la commander en pdfs. Je recommande vivement cette brochure !


Voici une page de l'histoire imaginée par Alessandra. j'ai réécrit le texte sur la première image, et traduit celui de la seconde.

 

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femj4bas

 


Outre les remarquables dessins d'Alessandra, j'aime bien l'usage du mot "sessions" dans ce qui est dit ! Pourquoi une "session" serait-elle toujours la séance qu'un homme achète auprès d'une femme pour son plaisir à lui ? Pourquoi ne pas considérer la possibilité d'une relation inversée, où la session est obtenue de force par une femme qui ne paie pas, si ce n'est par un peu de nourriture et d'excitant sexuel pour maintenir son esclave en forme ? L'idée est intéressante, et la pensée qu'elle a vraiment été mise en pratique en Russie - et pourrait à l'occasion l'être en Belgique chez la belle Xana, n'est-ce pas ? - ne laisse de nous intriguer et de nous fasciner.

 

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Lundi 2 janvier 1 02 /01 /Jan 11:46

Publié dans : récits illustrés

 

Chacun son slogan pour les souhaits de Bonne Année : "Bonheur et prospérité", "Santé et réussite", "Paix et fraternité", etc. etc. 


Sur le forum de girlpower, haut lieu d'un dialogue direct et sans concession entre dominatrices et viragophiles, dialogue qui procède le pus souvent par répliques courtes et cinglantes, Eragon a proposé le sien :


"Santé et sourires !"
. Mais comme Eragon nous a posté ça sur le forum hier 1er janvier au petit matin, relevant d'un réveillon bien arrosé, je lui ai répondu par une contrepèterie :


"Saoul t'es, sans rire..."


Mais soyons sérieux. Ma contre-proposition de slogan est la suivante :


"Des coups si vous voulez, mais n'oubliez pas les baisers"
.

Cela m'est inspiré par une vidéo qui vient d'être mise en ligne sur youtube :

 

coup

rencontre

baisers0

baisers1

 

La vidéo provient d'Athéna2, elle est en ligne sur youtube en ce moment, mais le copyright est ce qu'il est, par conséquent rien ne nous dit qu'elle va rester en ligne. 

Note du 23/01/12 : en effet, elle a été supprimée. 

On peut en trouver d'autres sur la chaîne youtube de Mysteria.

Là dessus, j'adresse mes meilleurs voeux à toutes les personnes qui me font l'amitié de suivre ce blog.


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Mercredi 28 décembre 3 28 /12 /Déc 17:02

Publié dans : débats d'idées et de société

 

A la demande très légitime de François, voici donc l'article de BIBA auquel Lucius et Raoul Fulgurex font référence dans leur dialogue


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Note d'Aristote : je me garderai bien de commenter cet article pour l'instant.

Je me contente de le publier ici. Je suppose que plusieurs lecteurs auront des commentaires à faire et me réjouis d'avance de les lire.

Si l'un ou l'autre d'entre vous a beaucoup à dire ou à témoigner sur ce sujet passionnant et inépuisable, on peut évidemment relancer par un autre article, un dialogue, un débat à plusieurs, avec Lucius, Raoul et d'autres intervenants... 

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Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 21:22

 

Nous poursuivons la publication du dialogue entre nos deux amis.

 

Beswick L : Je vois que tu as à peu près saisi le sens de la "théorie" qui soutient mon "masochisme" (dans le sens d'une supériorité physique innée de la Femme sur  l'Homme - bien que cela soit démenti d'une manière générale). A propos de scénarios dont tu parles, cela ne m'intéresse guère (P. Samuel avait écrit justement une Histoire basée sur une transformation génétique qui rendait les "femmes" d'une force incroyable - thème repris par différents auteurs - avec l'évolution pour cadre). En fin de compte, je préfère ma "théorie" de "Pound for Pound" - immédiatement accessible. Pour vous, d'ailleurs, toi et Aristote vous vous basez sur les cas où une Fille entraînée bat un garçon "lambda". Ce n'est pas assez "masochiste", à mon goût (car il faudrait comparer des adversaires à entraînement équivalent). D'où ce postulat de "supériorité intrinsèque" - bien que douteux de même que les arguments que j'avance pour l'expliquer, du genre de l'article de BIBA; Mais qui est le plus "humiliant" pour le sexe  "mâle" - car, alors, aucune échappatoire !    

RF : Oui, je comprends, et c'est intéressant ce que tu dis, j'aime bien le terme d'échappatoire. Cela revient aux prémisses de notre discussion, à savoir la viabilité d'une relation quand le sexe est basé sur l'humiliation. Cela semble être là où Aristote et moi fonctionnons différemment. Effectivement, le problème est que cette humiliation qui est latente dans les séances de domination ne contamine pas l'image de l'homme dans son entier, tel que vue par lui-même ou vue par sa femme. Donc oui, voir la femme comme supérieurement entraînée (Aristote), d'un physique hors du commun (moi), ou l'homme comme se laissant un peu faire sont des échappatoires dans ce sens-là. Mais la préservation de l'image de soi est un motif fort et inévitable, donc il est à mon avis recommandable de se ménager des "échappatoires" de cette sorte ou d'autre sorte. Sinon c'est la porte ouverte à l'auto-dépréciation et tout ce qui va avec. Si pour toi cela tue le fantasme, il y a certainement d'autres échappatoires imaginables. Les facultés de rationalisation a posteriori de l'esprit humain sont presque infinies...
 

Bes1 L : Oui, ce doit être compliqué de vivre cela au quotidien. Mais dans ce cas, l'on peut se réfugier dans une supériorité "intellectuelle"de l'homme.. Par exemple, avec mon ex-femme, je me rends compte maintenant qu'elle devait être physiquement plus forte que moi (mais je n'en ai pas profité sur le plan sexuel) et, en tout cas, beaucoup plus douée pour les travaux manuels. Mais, malgré cela, elle me respectait en tant qu'homme (mais, peut-être bien, par suite de son éducation - et de l'éducation de cette époque, en général - et ce, aussi, pour des raisons financières et de situation (ce qui tend à disparaître à  notre époque  moderne).  

RF : Autres sortes d'échappatoires que je trouve tout à fait raisonnables, et que je mentionnais il y a quelques messages. Pourquoi n'avoir pas profité du fait que ton ex-femme ait été plus forte que toi ? Peur de ses réactions ? Peur d'"abîmer" une belle relation ? Peur de détériorer ton image de toi ?
Par ailleurs, en réalité ce qui a été compliqué pour moi était d'avouer mes fantasmes. Après que ma femme les ait acceptés sans la moindre réserve (que je l'aime pour cela), vivre cela au quotidien n'a rien de particulièrement compliqué. Ma plus grande crainte est que cela sorte du couple car je n'ai aucune idée de la manière dont mes amis considéreraient la chose.

L : Dans les nouvelles théories (enseignées à l'école), on met en exergue la théorie des "genres" où l'on explique que les préférences sexuelles ne sont pas d'ordre biologique (ni génétique). Et ceci pour justifier l'homosexualité (à mon avis). Là , je ne suis pas d'accord du tout car on sous-estime complètement l'influence de l'inné - au profit de l'acquis -. Curieux lorsque l'on reconnaît, en même temps, l'importance des gènes. Pour moi, la question réside entre la proportion qu'il existe entre l'inné et l'acquis (même pendant la grossesse). Démentir complètement l'importance de l'inné me paraît une absurdité (comme l'avait dit un ancien auteur "Chassez le naturel, il revient au galop). Par contre, je pense que l'on avait, jusqu'ici, sous-estimé l'importance de l'acquis (qui serait de l'ordre de 90 % - suivant certains - y compris e qui se passe durant la grossesse).

RF : Complètement d'accord avec toi, ces nouvelles théories-là sont les anciennes théories de demain !
 Oui, on s'est servi de la théorie des genres pour promouvoir l'égalité homme-femme, pour justifier la tolérance envers les sexualités différentes et envers les personnes non conformes aux stéréotypes masculin/féminin en général. Rien que de très nobles causes à mon humble avis. Le seul problème étant que les assertions de base de la théorie des genres sont fausses !
C'est encore Steven Pinker dans son livre le plus célèbre (et très bon), "The Blank Slate" ("Comprendre la nature humaine" en français), qui démonte ces croyances politiquement correctes, et qui propose un plaidoyer très convaincant pour les progrès sociaux que sont l'égalité homme-femme et la tolérance des différences, mais dans le cadre d'une acceptation des différences statistiques indéniables de psychologie entre hommes et femmes, surtout en ce qui est lié au sexe. Par exemple, il explique pourquoi c'est une erreur logique de penser que reconnaître que les hommes sont portés à "baiser tout ce qui bouge" justifierait le viol de quelque manière que ce soit. Au contraire, les théories évolutionnistes expliquent très bien pourquoi le viol est si horrible à vivre pour une femme.
Cette fois je ne te donne que le lien vers le livre en anglais, car le prix de la traduction est proprement scandaleux... :
http://www.amazon.com/Blank-Slate-Modern-Denial-Nature/dp/0142003344/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1324288411&sr=8-1

Pinker force sans doute un peu le trait, mais il explique aussi dans ce livre comment on est arrivé à un vague 50-50 entre l'inné et l'acquis (en fait d'après Pinker l'inné est même plus important), pas un 90-10 comme tu le mentionnes. Mais il explique surtout ce que veulent dire ces chiffres, qui sans une définition claire n'ont tout simplement aucune signification.

L : 
Pour moi, la fessée n'est valable que si elle est imposée par une femme, genre "amazone", après un combat dont elle sort victorieuse ! Ce qui lui octroie le droit de "punir" et d'humilier le "vaincu", si, toutefois, elle le désire. Mon frère, lui, avait l'air d'aimer la fessée pour elle-même (il s'était fabriqué une "planche à clous" pour son usage personnel !), mais je crois qu'il y avait, là, un sentiment d'humiliation implicite.

RF : C'est un peu la même chose pour moi, simplement car en situation "normale" il est impensable que je me laisse faire ! Si je suis attaché ou immobilisé, là pourquoi pas ? Mais ce serait plus une manière d'enfoncer le clou qu'un fantasme pour lui-même, comme c'était manifestement le cas pour ton frère.


stan 014-2-16


L : Tout à fait d'accord (comme je te le disais, on dit que l'importance de l'inné serait bien inférieure à celle de l'acquis - seulement de 10/20 % -, mais rien n'est prouvé.  Il y a, tout de même, des faits troublants. Par l'exemple du "lavage de cerveau" qui semble transformer des individus d'une manière radicale. Ceci dit, je trouve effectivement inexact de vouloir limiter l'importance de l'inné uniquement aux caractéristiques physiques.  Autre fait troublant : mon fils et sa femme ont eu des triplés - deux garçons et une fille. Ces deux garçons qui se ressemblent beaucoup sont-il des vrais ou des faux jumeaux ? En tout cas, l'un est devenu "homosexuel", alors que l'autre est marié ! Par contre, ils ont été tout deux incapables de passer le permis "voiture" - alors que leur sœur l'a passé du premier coup.

RF : Le coup du permis voiture est exactement le genre de similarités qui revient le plus souvent dans les exemples de Pinker, c'est drôle que ça concerne parfois des détails qui ont l'air aussi personnels ! Pour ce qui est des lavages de cerveau, je crois qu'on a un peu exagéré ce qu'il était possible de faire et on ne croit plus aujourd'hui aux exemples du genre "1984". Je ne suis pas un spécialiste du sujet. Je sais qu'on peut "casser" quelqu'un par le mécanisme d'impuissance acquise, qui est attesté scientifiquement :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Impuissance_apprise . On peut aussi sans doute passablement déformer la vision du monde (social) de quelqu'un par une sélection soigneuse, surtout si c'est fait depuis l'enfance ; je pense à cela à cause des articles que je viens de lire sur la mort de Kim Jong-Il.


NB. Les illustrations ont été choisies par Aristote

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Vendredi 23 décembre 5 23 /12 /Déc 21:48

Publié dans : récits illustrés

 

Récit illustré d'un ami tombé amoureux d'une géante, en quatre épisodes.


1. Où notre homme livre ses premiers combats perdus d'avance face à une jeune femme bien plus forte que lui



1 debout ext1

2 debout doigts

3 debout dos

4 main ouverte


2. Où l'immense gaillarde le jette à terre et abuse de lui jusqu'à, imagine-t-on, lui faire subir les "derniers outrages".



5 debout sol

6 main télé

7 main télé2


3. Où l'on voit que, la nuit venue, dans une chaude lumière, notre ami récidive et repart à l'assaut de l'indomptable géante.



8 debout idée fixe

9 forte

10 géante1

11 bras de fer


4. Où notre ami, fou d'amour, s'imagine en couple avec cette Amazone qui le domine de deux têtes et l'écrase de sa force musculaire.


couple rois

12, épouser1

 

Addendum (29/12) : sur le forum girlpower il y a un fil de discussion dont le titre est "dominé par des mains fortes". J'ai signalé cette géante et, pour montrer qu'elle illustre bien ce thème, je rajoute ici quelques photos, histoire de bien motiver ceux de nos lecteurs qui aimeraient rendre visite à la demoiselle pour lui serrer la pince.

 

bonjour

avant-bras

fonctionne1


Avis aux amateurs !

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Vendredi 16 décembre 5 16 /12 /Déc 09:56

 

Anniversaire aujourd'hui 16 décembre 2011 ! cela fait exactement 5 ans que ce blog a été créé. Comme indiqué en bas de page, notre blog a reçu plus de 520.000 visites en cinq ans.

 

Voici la troisième partie du dialogue permanent qu'ont nos collaborateurs Lucius et Raoul Fulgurex.

 

1 couv New Dresseuses IZI large L:  Attention, ma "théorie" est celle qui soutient mon "fantasme", avec une certaine logique, mais rien de plus. Comme je croyais l'avoir souligné, elle ne correspond pas à la "réalité" ........ quoiqu'elle s'appuie sur des fait réels (voir P. Samuel etc......). Mais, mon postulat principal (la femme est intrinsèquement supérieure à l'homme sur le plan physique "Pound for Pound" et à entraînement similaire) relève du pur fantasme ! Je sais très bien que, dans la réalité, il y a des femmes plus fortes, plus courageuses, plus intelligentes que beaucoup d'hommes et vice-versa. Pour autant que l'on différencie catégoriquement les deux sexes !
C'est bien, comme tu dis un fantasme ultime, mais qui s'appuie sur une certaine logique (raison pour laquelle je le qualifie de "théorie").



RF: Oui, merci, cette fois je crois que je comprends nettement mieux. Ça ressemble à un monde imaginaire, qui doit répondre à un minimum de logique pour ne pas s'effondrer sous son propre poids. Serais-tu intéressé par des scénarios basés sur la théorie de l'évolution pour rendre ce monde plus crédible ? Cela doit être possible de faire de l'évolution-fiction sur ce thème, par exemple en se servant de la sélection sexuelle (sélection des partenaires) pour raccourcir l'échelle de temps. Même si pour ma part, cela n'ajouterait pas grand chose à mes fantasmes.


Fulbert1
L : Bien vu ! Au fait, qu'entends tu par le DSM-IV ? Est-ce un livre ? 

RF : Oui, un livre de référence :
http://en.wikipedia.org/wiki/Diagnostic_and_Statistical_Manual_of_Mental_Disorders . Il donne aux psychiatres des critères précis et plus ou moins consensuels dans la communauté scientifique sur la manière de catégoriser les troubles psychologiques. Sachant que le masochisme sexuel n'est pas en soi un trouble psychologique, mais peut l'être s'il est mal vécu par la personne. 


L : La différence entre nous et Aristote, c'est bien la notion de l'Humiliation qui semble absente chez lui.


RF : J'ai un peu de peine à croire que la notion d'humiliation ait toujours été absente pour lui. J'aurais tendance à imaginer que l'humiliation était présente au début, puis qu'en glorifiant les femmes fortes, il n'y avait du coup objectivement plus de honte à se faire mettre en pièces par des êtres d'exception. Je dis cela car c'est aussi un peu ce que j'ai fait pour "vivre avec" ce désir d'humiliation, mais ça serait vraiment à lui d'en parler.


Aristote : J'interviens donc ici pour rappeler, sur le thème de l'humiliation, le dialogue que j'ai eu avec Amphitryon en juillet 2007 : dialogue avec Amphitryon.

J'ajouterais que si je ne me sens plus humilié quand je suis "vaincu par elle", en revanche je suis toujours très excité par la vue d'un homme qui se sent humilié par une femme qui le bat en combat à mains nues.


L : Pour moi, j'aurais tendance à considérer que cela fait partie de l'inné (curieux que mon frère ait été un partisan du S/M, quoique "switch", mais avec une tendance dominante, car,d'autre part, je soupçonne fortement l'un de mes frères aînés d'avoir eu une activité d'ordre "masochiste", mais je regrette de n'en pas en avoir eu confirmation). Cela étant, il n'est pas étonnant
  que la vue d'images "fortes et orientées" nous aient tellement "frappés" !

black2
RF : J'aurais cette hypothèse aussi, sans pouvoir la confirmer. On suppute à l'heure actuelle que la préférence sexuelle (homo ou hétéro) est congénitale (c'est-à-dire pas génétique mais déterminée pendant la grossesse). C'est en tout cas établi qu'elle est quasiment impossible à changer. Et en ce qui me concerne, je me rappelle qu'étant enfant j'étais encore plus sûr de mes tendances masochistes que de ma préférence sexuelle.
 


L : Ce qui est curieux, c'est que mon frère avait, lui,
 été impressionné par la lecture des "Malheurs de Sophie" - ce qui lui a donné le fantasme de la fessée, et plus tard, du S/M - alors que, si j'avais aimé ce livre, il n'avait déclenché aucun fantasme particulier de mon côté. Mon frère disait souvent qu'il regrettait de n'avoir jamais reçu la moindre fessée durant notre enfance !


RF : Ah la fessée, un grand classique du masochisme ! Trop psychologique pour moi, car généralement la victime doit se laisser faire. Mais je comprends qu'on puisse aimer cela et si je ne suis pas un inconditionnel, cela ne me laisse pas complètement indifférent.
 


L : Encore, bien vu ! Ce que je regrette, c'est de ne pas trouver de vidéos conformes à mon fantasme - alors qu'il y en avait plus qui s'en rapprochaient dans les années 80/90;


RF : La scène avec les deux amazones du James Bond "Les Diamants sont éternels", par exemple (années 70?)

 



C'est vrai qu'on ne fait peut-être plus des héros aussi macho, avec qui le retournement de situation est plus évident. Et en parlant de retournement de situation, pourquoi ce final ridicule dans la piscine ?


L : Cela revient à favoriser l'importance de l'inné. Gros problème entre les partisans de l'inné et ceux de l'Acquis. Pourquoi l'influence des gênes ne jouerait que sur le "physique" des individus ? Pour l'acquis, j'ai lu quelque part que son influence (sur le cerveau ) était de 90 % à la naissance ......... 


RF : Le débat entre l'inné et l'acquis est là encore souvent une question de terminologie, que je ne suis même pas sûr de maîtriser complètement. Quand on parle de génétique, on parle évidemment d'inné. Mais les interactions entre l'inné et l'acquis sont fondamentales et presque impossibles à démêler. Pour que la question ait un sens, on ne doit parler que des différences entre les individus. Avec des études sur les jumeaux par exemple, on regarde s'il y a plus de différences psychologiques entre des vrais jumeaux séparés à la naissance ou des faux jumeaux élevés ensemble. Les interprétations sont difficiles, mais la règle grossière qui ressort souvent des dernières études est plutôt celle du 50-50.
Maintenant, il ne faut pas oublier qu'on ne parle que des différences individuelles. La plupart des traits psychologiques sont communs à presque toute l'espèce humaine et sont donc supposés génétiques.


Par ailleurs, tu as tout à fait raison, l'influence des gènes joue sur la psychologie des individus, c'est d'ailleurs tout le propos des psychologues évolutionnistes dont Pinker (par exemple) se fait l'écho. C'est juste plus difficile à montrer que pour les caractéristiques physiques, mais plus personne à l'heure actuelle ne voit le cerveau comme une page blanche, un blob façonné uniquement par l'environnement.
  


L : Je te rappelle que, dans la théorie de l'Evolution, il n'y a pas que la "sélection naturelle" et qu'elle a abouti à des ratés exemplaires - comme la branche qui a conduit aux Dinosaures ...........  


RF : Qu'est-ce qu'un raté ? Les dinosaures étaient merveilleusement adaptés à leur milieu. Mais les critères de sélection changent, et il est logique que les êtres vivants aussi, à mon sens ce ne sont pas des ratés mais des réussites. Bien sûr qu'il y a des branches mortes, des impasses. Les "vrais ratés" de l'évolution, c'est quand la fonction B a évolué par-dessus la fonction A, et que B aurait pu être réalisé beaucoup mieux si A n'avait pas déjà été gravé dans le marbre. On pense par exemple que c'est le cas d'un nerf qui pourrait être deux fois plus court s'il ne devait pas faire le tour de la trachée. N'empêche que de façon générale c'est quand même un sacré travail d'orfèvre.

Fulbert2
L : Ceci dit, je crois que c'est plutôt la "femme" qui a tendance à choisir un partenaire "fort" dans le but inconscient de reproduire l'espèce. Mais, l'inverse se produit aussi -quoique ces femmes "fortes" aient souvent une préfèrence pour des partenaires inférieurs et malingres ou, plus simplement, deviennent des Lesbiennes.


RF : Dans le but inconscient de reproduire ses gènes à elle, désolé d'être pédant avec cela, mais je ne peux pas m'en empêcher... 
La femme est un peu prise entre deux feux, c'est souvent les plus forts qui s'imposaient dans les combats de coqs, et les plus vigoureux qui avaient statistiquement les meilleures santés. Mais d'autre part l'intérêt numéro 1 de la femme a toujours été l'investissement que le partenaire sexuel est prêt à faire pour élever les enfants. Donc la femme est souvent attirée sexuellement par les plus forts, mais a envie de faire sa vie avec les plus fiables, les meilleurs pères potentiels. Ca ne doit pas être simple d'être une femme. Le plan de base masculin (baiser tout ce qui bouge, pardonne-moi pour la vulgarité) est nettement plus simple, mais les femmes brouillent les cartes en pratiquant une sévère sélection.
Que les femmes fortes aient une préférence pour les malingres ou pour les femmes, je ne l'ai jamais remarqué. Je ne sais pas si c'est vrai, et si c'était vrai je ne saurais pas ce que cela signifierait.


L : Ce que je veux dire - et que je croyais que tu l'avais compris -, c'est que, pour qu'il y ait "humiliation", il faut être quelque peu "macho" et partir du fait que, chez les Mammifères, le mâle est "naturellement" plus fort et le "dominant". Et que le "masochisme" est principalement basé sur ce renversement (et inversion du rôle traditionnel des sexes) - ce qui est particulièrement "choquant" ! Dans ma "théorie" - même si elle relève du fantasme -, j'estime que la femme est supérieure à l'homme, mais seulement dans certaines limites (sans parler de différence d'entraînement). Ainsi, je considère qu'une femme battra facilement un homme d'une stature 10/15 % supérieure, mais pas dans de plus fortes proportions (sauf dans des cas exceptionnels). Je parle de "fantasme" quoique votre "exemple" soit une preuve que ce fantasme puisse être transcrit dans la réalité. .



RF : C'est juste, je me rappelle de cela maintenant. Nous différons un peu, comme déjà discuté. Pour moi, le côté "macho" est un plus notable qui ajoute à l'humiliation mais pas une nécessité. Je trouverais très humiliant de me faire tordre comme un bretzel et de devoir demander grâce, même si je savais que mon adversaire était supérieur(e).
Ce qui me fait penser : quel est ton rapport au bondage ? Je sais que Aristote n'aime pas du tout, moi j'adore, tant qu'on peut éviter tout le barda du S/M. J'adore me faire attacher pour mieux me faire dominer, serait-ce par une femme moins forte que moi. Cela ne semble pas rentrer du tout dans ton fantasme. Qu'en est-il ?


stan 014-2-12



L : 
Il en est de même pour moi, mais j'arrive à modifier des histoires existantes pour les rendre plus conformes à mes goûts - tout au moins, il y a quelque temps, quand j'avais plus de "libido" -.


RF : Cette conversation m'a donné un peu d'inspiration pour commencer une histoire, mais si je parviens à la finir elle sera tellement "soft" que je suis sûr de vous faire bâiller, Aristote et toi qui êtes manifestement plus "coquins". En fait j'aime bien les protagonistes naïfs et les scènes très soft qui me rappellent ma prime jeunesse où il suffisait d'un rien pour me faire partir au quart de tour.
 


L : 
Merci pour les Images qui, en effet, sont très bonnes - à ceci près que je désirerais qu'en final, il y ait totale nudité. Mais,au début je ne suis pas contre des tenues particulièrement "sexy", au contraire. Mais, ce que je n'apprécie pas, ce sont les "clips" de lutte mixte (comme ceux de YOUTUBE) où l'on n'en voit pas plus à la fin qu'au début ! Aucun "suspense". 


RF : Je dois être plus prude en effet, c'est beaucoup plus délicat pour moi d'apprécier des scènes de nudité, car elles évoquent fortement en moi une femme qui se soumet au désir de l'homme. J'en ai déjà parlé avec Aristote que, comme toi, cela ne gêne pas. Pour moi la meilleure tenue est révélatrice, mais reste une tenue de sport dans laquelle la femme est confortable pour lutter. Maintenant, si elle parvient à me faire croire qu'elle se dévêt pour être plus à l'aise, ça peut marcher. Mais il faut me convaincre !

 

Stanton1

 

NB. Les illustrations de cet article ont été choisies par Aristote

 

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Présentation

  • : Vaincu par Elle
  • Vaincu par Elle
  • : Divers
  • : Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
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  • : 16/12/2006

Chronologie


Liste complète des articles de ce blog
dans l'ordre chronologique de parution

Hier encore j'ai voulu lutter avec elle
combats mixtes en privé (1)
combats mixtes officiels (1)
combats mixtes au cinéma (1)
Deux filles à poigne
Ce soir, ça va être ma fête !
Le catch sexuel (Union, 1981)
petites annonces des années 80
Gifles et sumo
Le dressage d'Aristote (1)
Bras de fer mixtes
Se retrouver sous elle
Ma découverte de la force féminine
Vengeances tardives
Il voulait lutter avec elle
Démonstrations de force féminine
Intimidante Tazzie
Ses mains m'ont fait peur
La fréquentation des sportives
Pas de recettes miracles
Le mariage de la princesse Katun
J'ayme une fille de village
Cueillette
Le dressage d'Aristote (2)
Annibale Carracci et ses femmes sculpturales
L'amour avec une plus grande
Lutteuses, attention aux satyres !
combats de lutte mixte (suite)
Le monde du BDSM et nous
Evitez de leur chercher noise
Combats féminins de référence
Défis, tests et vrais combats
Baigneuses robustes
Femmes fortes d'autrefois
Combat mixte en MMA
Le dressage d'Aristote (3)
Véronèse profane
En Asie le plaisir, parfois l'ennui
Maggie Jennings lutteuse et artiste
La sensualité du muscle féminin
La tentation des fesses
Improbables clubs de lutte mixte
Isabelle Rouveure
Bras croisés, force et assurance
Pour fêter le 8 Mars
Un film-culte : Faster Pussycat kill ! kill !
La vie quotidienne avec une lutteuse
La main sur la gorge et sur le visage
Lenkiewicz et ses jolies modèles
Croquis souvenirs
Amazones austères
Le dressage d'Aristote (4)
Combats mixtes officiels (2)
Combats mixtes au cinéma (2)
Combats en privé (2)
Regards furieux et dominateurs
Bien plus forte que toi
Livre sur les Amazones
Russell Flint and the strong girl
Louise Lecavalier, danseuse hors norme
Femmes fortes d'autrefois (2)
Bras de fer mixte (2)
Par devant ou par derrière
Le dressage d'Aristote (5)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon
Luttes mixtes sur youtube
Brunhild face à Gunther
La nuit de noces de Gunther
Brunhild face à Siegfried
Elisabeth de Poméranie

Sourires d'une nuit d'été
Très jeune et déjà vaincu par elle
Extraits de films indiens
La demoiselle musclée de Pablo
Agressive et adorable branleuse
A propos de leurs jambes
Jambes ouvertes, offertes, danger!
Souffrir entre leurs jambes
Vaincu par Liza
Un mois déjà
Mordre la poussière
François Boucher (1)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (2)
Le punch de Megumi
Affronter une boxeuse
Affronter une catcheuse
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (3)
Histoire d'une fiancée
Souffrir entre ses cuisses huilées
Lutteur réglo cherche Amazone austère
Ces petits attirés par les grandes
Attiré par les femmes noires
Une copine quelque peu violente
Témoignage : une femme bat son mari
Histoire d'une lutteuse de foire
Une amie dure et tendre à la fois
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Suis-je raciste envers les petits ?
Balasko joue les femmes fortes
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Hommes battus (suite)
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Affronter une kickboxeuse
Quelques bras de fer (1)
Deux curieuses cartes postales de vacances
Trois cartes postales de monuments historiques
Se frotter à une prof de jiu jitsu
Se frotter à une judokate
Un combat mixte de kickboxing
François Boucher (2)
Quelques bras de fer (2)
Belle, forte et menaçante

Une excitante défaite en cours d'EPS

Plutôt baraques les femmes de Braque !

"Comme les deux doigts", roman

Un rêve compromettant

Gaillardes et mauviettes

A la recherche d'une Asiatique

Catcheuses et mauviettes dans le cinéma mexicain

Gaillardes et mauviettes (2)

Trois excitantes vidéos

"Vous pourrez prendre vos repas en notre compagnie"

Epouse trop forte

Régulièrement battu par Julie

Annie, chahuteuse souriante et très coquine

Quelques odalisques (1)

Quelques odalisques (2)

Quelques odalisques (3)

Quelques odalisques (4)

Quelques odalisques (5)

La prochaine fois je tourne la main  

Femmes musclées nues

Touchers volés

Erotique de l'exhibitionnisme musculaire : magazines

Ma première expérience sportivo-érotique avec deux filles de la classe

Prendre des leçons auprès d'une championne

Confrontations debout

Confrontations assises

Ma femme fait du judo (Fernandel)

Elle me bat au bras de fer (Higelin)

J'suis comme un chien mouillé (Renan Luce)

La quête difficile d'une relation inversée

L'impossible tentative de fuite

Vidéo perdue et provisoirement retrouvée

Gaillarde japonaise retrouvée

Ruth, l'éternelle incomprise

La lutte mixte est-elle accessible à tous?

Se faire boxer : de la peur au plaisir

Des progrès incessants, mais pas partout

Wedge, notre "professional victim"

D'une époque à l'autre

Qui s'y frotte s'y pique

Un peu de tourisme à Liège 

Kimberli, dernière terreur en date des garçons 

Une agréable prison, serré contre la belle 

quelques beaux diaporamas 

A la recherche d'une Asiatique (2) 

Drôlement musclée, la fille...

Ces miroirs où on les contemple 

Eprouvants jeux de bras avec la souriante Kim 

Vraiment besoin d'une fille aux gros bras? 

A la recherche d'une Asiatique (3)

Intermède caritatif 

Prendre la place du ballon
A la recherche d'une Asiatique (4) 

Encore une femme dangereuse 

L'inoubliable Miss Mara 

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Premier sondage des lecteurs

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (1)

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (2)

Sensualité et spiritualité
Un destin tout tracé
Erotisme du muscle féminin : les jambes (1)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (2)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (3)
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Vos goûts sur quelques régions (sondage)

Femmes assises, jambes redoutables

Souffrir et bander en Espagne

Empoignade sympa avec une petite nana musclée

Elle l'insulte, rit de lui, ou se tait

Rêver aux doigts de fer de la pianiste

Mon rêve familier (pastiche)

Aimer, souffrir et obéir

Lors que la poule chante et fait taire le coq

Erotique du muscle féminin : les jolis abdos

Erotisme du muscle féminin : les Webcam girls (1)

Confrontations debout (2)

Celles qui vous tordent les bras et vous plantent leur genou

Une blonde pour Socrate

Attention, boxeuse !

Le bonheur dans la souffrance

Le risque du sommeil et de l'ennui

En marge des festivals de musique

Ces veines qui parcourent leurs bras musclés !

Aristote rencontre ses lecteurs  

La défaite, couché sous elle  

Pénétrer dans l'intimité d'une athlète

Soulevé, serré, vaincu... quelques vidéos

Quelques déshabillages

Ayez de l'ambition !

Le beau combat de Sarah

Photos aventureuses avec une fille musclée (1)

Photos aventureuses avec une fille musclée (2)

Quelques noyades stantoniennes

Poème stantonien

Un peu de gym corrective pour ce garçon

Retrouver la salle de classe (1)

Retrouver la salle de classe (2)

Belle et dangereuse Julie

Fuite sans combat

Le blog de notre ami Brad Fer

Des trésors de tendresse et de gentillesse

Mon bras de fer avec Julie

Une grande fille apparemment calme

Catcheuses mexicaines

Quelques étrangleuses (1)

Quelques étrangleuses (2)

Quelques étrangleuses (3)

Quelques étrangleuses (4)

Quelques étrangleuses (5)

Quelques étrangleuses (6)

Une coquine de chez Pilates

Une Hongroise qui vous presse contre son sein

Un risque de violence conjugale

Jalouse d'une plante verte

A Amsterdam, un certain matelas

Deux sondages sur les confrontations homme/femme

Madame porte la culotte (film)

L'un des meilleurs films de domination

Pas assez de sexe ? dialogue Lucius-Aristote (1)

Pas assez de porno ? dialogue Lucius-Aristote (2)

Quel masochisme ? dialogue Lucius-Aristote (3) + sondage

Tu vas pas remettre ça ? si !

Le masochisme du demandeur de coups bas

Virago, viragophile et viragomaniaque

Le "meilleur film" de domination de retour !

Jacques Villeret, sa mob et sa virago

Le couple fatal Gérard Depardieu - Faith Minton

Une femme peut-elle violer un homme ? (1)

Une femme peut-elle violer un homme ? (2)  

Une femme peut-elle violer un homme ? (3)

Le fantasme d'être pris de force par une femme

Le film de boxe mixte, entre fiction et document

Une viragophilie gérontophile (1)

Une viragophilie gérontophile (2)

Une femme venge son sexe

Un beau combat mixte actuellement en ligne

Belle et cruelle Antscha

Kyra, encore une Hongroise décidée à vaincre les mecs

Une femme peut-elle violer un homme ? (4)

Fêter le 1er mai avec une femme libérée

Un entretien d'embauche assez spécial

Du rêve à la réalité

Une ex-catcheuse se venge

Elle le bat et le ratatine sans discussion possible

Anodin, ce site de vidéos sur youtube ?

Lutter avec une naïade

Résister au harcèlement

Dressé par une méchante femelle

Une femme peut-elle violer un homme ? (5)

Ces femmes balaises qui abusent de leur force

Quelques films d'anthologie provisoirement en ligne

Une charmante athlète au bras fort et beau

La Japonaise et le fétichiste

Viktoria et bien d'autres... encore une nouvelle chaîne

Deux questions de Chapeau Melon à Aristote

Ceux qui tentent d'attaquer et les soumis d'avance

Celles qui nous surprennent

La lutte soumission : une domination sans jeu de rôle

Découvertes dans les musées de Paris

Fascination, hésitation, impuissance du voyeur

Actualité des vidéos en ligne - 24/08

Histoire imaginaire

Bras de fer imaginaire

Se faire écarteler ou se faire serrer ?

un masochisme rigolo

Les sessions, quand on hésite à en faire 

Les gladiatrices à l'époque romaine

A la télévision, les Nibelungen (1924)

Les sessions, quand on hésite à en faire (2)

Actualité des vidéos de combats mixtes sportifs

Actualité des vidéos de lutte fantaisie (18/10/11)

Une nuit dans un quartier chaud

Vidéos avec dialogues en français

Vaincu et piégé par une grande athlète noire

Le duo Faith Minton Gérard Depardieu remis en ligne

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (1)

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (2)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (1)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (2)

Une diva nommée Nadia

L'enlèvement d'une Sabine, aventure risquée

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (3)

Rêve de Noël : épouser une géante de choc !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (4)

Article de BIBA mentionné par Lucius et Raoul

Pour la Nouvelle Année, des baisers !

Un homme séquestré et violé

Baisers volés... par elle !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (5)

La danse classique mène à tout

Introduction à la ciseaulogie (1)

Introduction à la ciseaulogie (2)

Obscurément battu, et giflé comme il le mérite

Deux hommes, une femme plus petite, trapue...

A propos des histoires d'hommes violés (Lucius)

A propos de la ciseaulogie (par CRJ 57)

Réponses de Lucius et Aristote à un commentaire de CRJ 57

La santé de ce blog dépend de celle de ses collaborateurs

Bénabar se prend des râteaux

Tu as bien dit : "anorexique" ?

Seins nus, musclée, dominatrice, maternelle

Un gros vilain à reprendre en mains

Retrouver Ani sur son lit, démarche téméraire

Philippe Martinery et ses femmes costaudes

Les ébats passés des jeunes danubiennes et danubiens

La conclusion rêvée : une pose en signe de victoire

Muscle féminin (1) : exhibitionnistes involontaires

Entraînements mixtes pour jeunes générations

Dialogue Lucius-Aristote sur les entraînements mixtes

Muscle féminin (2) : allumeuses et allumées sur Webcam

Muscle féminin (3) : allumeuses qui jouent des biceps et des pecs

Muscle féminin (4) : collectionneurs de photos

Muscle féminin (5) : caresseurs, peloteurs, baiseurs

Muscle féminin (6) : calmer la lutteuse et la peloter

Muscle féminin (7) : vidéos de dominations et fétichismes

Un clip "porno" proposé par Lucius

Muscle féminin (8) : Christa BAUCH, déesse du fétichisme

Prendre une leçon de jiu-jitsu

Indomptables gymnastes asiatiques

Lutteuses, art et poésie

Exposition Robert CRUMB à Paris

Paris, ville déconseillée sur la liste wb270

Sondage : votre idéal de femme (physiquement)

Rosy la bourrasque (Depardieu - Faith Minton)

Ces filles aux jambes puissantes : danger !

Alors, ces vacances, comment ça se présente ?

Message de vacances

Henri d'Orcines et sa lutteuse

Les trois soeurs Panaitescu

Parties de jambes en l'air

Retours de vacances

Une belle et grande dominatrice

"L'Amazone" de Georges PIOCH (1912)

Kara leur fait mal, les bat, les humilie (les mecs)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (1/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (2/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (3/3)

Vidéo : un garçon dominé à la lutte par son amie

Trinity en action : comment qu'elle le porte et le trimballe !

La sagesse de Charles FOURIER (1772 - 1837)

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Photos de famille

Sondage : quelle défaite préférez-vous ?

Les gladiatrices, trident, fourche, mythe et réalité

A propos de Krafft-Ebing, du sadisme et du masochisme

"Martin Roi", roman sur le masochisme (2003)

Une séance SM au déroulement imprévu

Affolé par les seins de la belle, et vaincu par elle

Fière de ses muscles, de ses seins, dominatrice

La jolie Miss Géraldine au 6ème anniversaire du blog

Pourquoi j'adore ça ? Et elle, pourquoi ?...

L'inquiétude existentielle d'Aristote

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Confrontation d'une lutteuse et d'un intello

La lutte mixte comme jeu amoureux (1)

Une femme peut-elle aimer un maso ?

Dominations féminines incontestables

Maris battus, autrefois si moqués

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Vidéos de lutte mixte en ligne (juin 2013)  

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Judith et Holopherne, images et commentaires à venir

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